Et de deux ! La dernière fois que je vous ai parlé d'un long-métrage avec Jack Nicholson, c'était déjà un western. Je récidive aujourd'hui et vais démarrer la semaine en vous présentant En route vers le sud. Ce drôle de film, notre ami l'a aussi réalisé. Il s'y lâche complètement et propose un portrait de mauvais garçon en roue libre. Sacré Jack...
Au départ, autant vous dire que ça sent très franchement le roussi pour son personnage: voleur de chevaux non repenti, Henry L. Moon est promis à la potence à brève échéance. Une loi lui sauve finalement la peau et le reste in extremis: étant donné que l'Amérique panse ses plaies d'après la Guerre de sécession et qu'elle manque cruellement d'hommes dans la force de l'âge, toute femme volontaire peut obtenir la grâce d'un bad boy, pour peu qu'elle se déclare disposée à l'épouser sans délai. C'est le petit miracle qui survient donc pour Moon, par l'entremise d'une mémé d'abord, vite morte d'émotions, puis d'une dénommée Julia Tate, propriétaire d'une mine et bien déterminée à y trouver de l'or. Je vous laisserai la surprise quant à ce que réserve par la suite le scénario d'En route vers le sud.
Loin d'être exceptionnel, le film est un aimable divertissement. Malgré tout le décorum du western, c'est plutôt une comédie potache qui nous est proposée ici. Les plus connaisseurs d'entre vous identifieront d'ailleurs sans difficulté quelques-uns des trublions fameux du cinéma américain d'alors: Christopher Lloyd en tête d'affiche, sans doute, mais également John Belushi et Danny DeVito. Chez ces dames, on remarquera surtout le premier rôle féminin confié à la jolie Mary Steenburgen, mais Veronica Cartwright tire elle aussi son épingle du jeu, avec le sourire. C'est vrai: En route vers le sud ne gagnera pas forcément l'admiration des habitués du Grand Ouest. Maintenant, je dois dire que j'ai pris quelque plaisir à le regarder. J'aurais pu ne pas le faire sans dommage, mais c'était rigolo, au fond.
En route vers le sud
Film américain de Jack Nicholson (1978)
L'autre western que j'évoquais en préambule, c'est Missouri Breaks. Sorti deux ans plus tôt, il offre une atmosphère bien différente. Comme souvent en pareil cas, je recommande de ne pas choisir. Autant voir les deux films si possible: c'est ce que je vous conseille. Pour ceux qui auraient flashé sur Mary Steenburgen, une info-cadeau en bonus: elle joue aussi une cowgirl dans... Retour vers le futur 3 !
Au départ, autant vous dire que ça sent très franchement le roussi pour son personnage: voleur de chevaux non repenti, Henry L. Moon est promis à la potence à brève échéance. Une loi lui sauve finalement la peau et le reste in extremis: étant donné que l'Amérique panse ses plaies d'après la Guerre de sécession et qu'elle manque cruellement d'hommes dans la force de l'âge, toute femme volontaire peut obtenir la grâce d'un bad boy, pour peu qu'elle se déclare disposée à l'épouser sans délai. C'est le petit miracle qui survient donc pour Moon, par l'entremise d'une mémé d'abord, vite morte d'émotions, puis d'une dénommée Julia Tate, propriétaire d'une mine et bien déterminée à y trouver de l'or. Je vous laisserai la surprise quant à ce que réserve par la suite le scénario d'En route vers le sud.
Loin d'être exceptionnel, le film est un aimable divertissement. Malgré tout le décorum du western, c'est plutôt une comédie potache qui nous est proposée ici. Les plus connaisseurs d'entre vous identifieront d'ailleurs sans difficulté quelques-uns des trublions fameux du cinéma américain d'alors: Christopher Lloyd en tête d'affiche, sans doute, mais également John Belushi et Danny DeVito. Chez ces dames, on remarquera surtout le premier rôle féminin confié à la jolie Mary Steenburgen, mais Veronica Cartwright tire elle aussi son épingle du jeu, avec le sourire. C'est vrai: En route vers le sud ne gagnera pas forcément l'admiration des habitués du Grand Ouest. Maintenant, je dois dire que j'ai pris quelque plaisir à le regarder. J'aurais pu ne pas le faire sans dommage, mais c'était rigolo, au fond.
En route vers le sud
Film américain de Jack Nicholson (1978)
L'autre western que j'évoquais en préambule, c'est Missouri Breaks. Sorti deux ans plus tôt, il offre une atmosphère bien différente. Comme souvent en pareil cas, je recommande de ne pas choisir. Autant voir les deux films si possible: c'est ce que je vous conseille. Pour ceux qui auraient flashé sur Mary Steenburgen, une info-cadeau en bonus: elle joue aussi une cowgirl dans... Retour vers le futur 3 !
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