Je peux l'avouer: après celui de lundi, je ne voyais aucun autre film de braquage susceptible d'être chroniqué sur Mille et une bobines. C'est donc un peu par hasard que Pour 100 briques, t'as plus rien ! s'est "imposé" parmi d'autres possibilités. Ma nostalgie des années 80 n'y est pas pour rien. Gare: elle n'est pas toujours bonne conseillère...
Sam, serrurier, vient de se faire virer au profit du fils de son patron. Paul, son colocataire, n'a pas de boulot. Des huissiers sont passés chez eux pour saisir le peu de meubles qui restaient, télé comprise. Hébergés par une copine, les deux garçons n'ont guère qu'une idée pour s'en sortir: s'attaquer à une banque, y prendre quelques otages parmi le personnel et/ou la clientèle, puis demander une rançon XXL. Sur cette trame simplissime, le scénario nous offre une comédie ordinaire, qui adapte à l'écran une pièce de théâtre sortie en 1976. Vous pourrez y retrouver Daniel Auteuil, Gérard Jugnot, Anémone, Darry Cowl, Isabelle Mergault ou bien encore Jean-Pierre Castaldi. Pour 100 briques, t'as plus rien ! n'avait pas attiré grand-monde dans les salles obscures: à peine plus de 1,3 million de spectateurs. Notez qu'avec ce score, d'autres longs-métrages sont devenus cultes. Je doute franchement que celui-ci atteigne un jour ce statut enviable.
Pour 100 briques, t'as plus rien !
Film français d'Édouard Molinaro (1982)
Beaucoup d'amateurs l'affirment: à cette époque, le cinéma comique français connaissait un âge d'or, qui paraît largement oublié depuis. Objectivement, il y a eu des hauts et des bas, mais il semble établi qu'aujourd'hui, ce que le septième art raconte est bien moins rigolo. Ma référence absolue ? Ce pourrait être Marche à l'ombre, je crois. En ce temps-là, les films sentaient aussi très fort l'envie de li-ber-té !
Sam, serrurier, vient de se faire virer au profit du fils de son patron. Paul, son colocataire, n'a pas de boulot. Des huissiers sont passés chez eux pour saisir le peu de meubles qui restaient, télé comprise. Hébergés par une copine, les deux garçons n'ont guère qu'une idée pour s'en sortir: s'attaquer à une banque, y prendre quelques otages parmi le personnel et/ou la clientèle, puis demander une rançon XXL. Sur cette trame simplissime, le scénario nous offre une comédie ordinaire, qui adapte à l'écran une pièce de théâtre sortie en 1976. Vous pourrez y retrouver Daniel Auteuil, Gérard Jugnot, Anémone, Darry Cowl, Isabelle Mergault ou bien encore Jean-Pierre Castaldi. Pour 100 briques, t'as plus rien ! n'avait pas attiré grand-monde dans les salles obscures: à peine plus de 1,3 million de spectateurs. Notez qu'avec ce score, d'autres longs-métrages sont devenus cultes. Je doute franchement que celui-ci atteigne un jour ce statut enviable.
Pour 100 briques, t'as plus rien !
Film français d'Édouard Molinaro (1982)
Beaucoup d'amateurs l'affirment: à cette époque, le cinéma comique français connaissait un âge d'or, qui paraît largement oublié depuis. Objectivement, il y a eu des hauts et des bas, mais il semble établi qu'aujourd'hui, ce que le septième art raconte est bien moins rigolo. Ma référence absolue ? Ce pourrait être Marche à l'ombre, je crois. En ce temps-là, les films sentaient aussi très fort l'envie de li-ber-té !
2 commentaires:
Je fais donc partie du million 3 qui l'a vu en salle. Le film m'avait amusée il me semble mais j'étais plus indulgente avec les comédies franchouillantes.
Daniel Auteuil ne se sert-il pas de sa relation avec Anémone employée de banque pour y entrer ? C'est tout ce dont je me souviens mais ai-je rêvé ?
Il trouve surtout en Anémone une bonne complice pour en sortir en dupant les flics.
Cette comédie "franchouillante" (c'est joli, ça !) fleure bon les années 80. Ce qui la rend amusante.
Enregistrer un commentaire