Je suis bien embêté. J’aimerais pouvoir vous raconter ce que j’ai ressenti devant Un homme d’exception, mais je ne peux pas. Disons en tout cas que je ne peux pas trop en dire, peut-être même moins que d’habitude. C’est ma tante Suzel qui m’a offert le DVD à Noël, sans trop m’en dire elle-même. Elle a bien fait : le film n’est pas facile à résumer. Je vais tâcher de vous expliquer pourquoi sans dévoiler l’essentiel, espérant que ça vous incitera à le voir.
Bon, ça ne coûtera pas grand-chose d’évoquer le point de départ. Les premiers plans du film permettent de faire la connaissance de John Nash, jeune étudiant en mathématiques de la célèbre université de Princeton. John est un peu à part, c’est le moins que l’on puisse dire. Il mène des travaux qui paraissent pour le moins ésotériques à ses camarades. Même ses professeurs ont du mal à le suivre. Pas de quoi décourager le gaillard, qui semble vite persuadé qu’il possède la caractéristique première des génies : une certaine inaccessibilité.
Bien vite, il se trouve tout de même quelqu’un pour s’intéresser au cerveau de Nash et à ses méthodes de calcul : un dénommé William Parcher, qui lui propose… de travailler pour les services secrets américains. Soulignons que tout se déroule dans les années 50. D'où le discours. « Votre mission, si vous l’acceptez, sera de lire les journaux pour y déceler les codes secrets de l’armée soviétique, laquelle prépare une attaque nucléaire sur le sol américain ». Mouais. J’avoue qu’à ce stade du film, disons dans sa première petite moitié, j’étais sceptique sur sa qualité et sur les raisons qui avaient poussé l’Académie des Oscars à lui décerner un Prix de film de l’année 2001 !
Je ne sais pas si cette récompense est méritée, mais tout s’est éclairé ensuite. Certes, j’étais encore « largué » quand John résout sa première énigme chiffrée, mais j’ai beaucoup mieux compris ensuite de quoi il était exactement question. Ce qui me fait dire que Un homme d’exception vaut le détour. Le film prend par surprise. C’est sans préavis qu'il bascule dans autre chose, et il le fait même d’un coup d’un seul. Je ne peux pas vous dire comment: ce serait gâcher le changement de cap qui fait tout l’intérêt de cette histoire vraie (!). Le fait est que c’est pour le moins surprenant, je dirais même déroutant. Au final, on est un peu abasourdi et on comprend effectivement que l’intelligence humaine est capable de grandes choses, de remarquables réussites sur l’adversité. Mais pas forcément celles auxquelles on aurait d’abord pensé…
Bon, ça ne coûtera pas grand-chose d’évoquer le point de départ. Les premiers plans du film permettent de faire la connaissance de John Nash, jeune étudiant en mathématiques de la célèbre université de Princeton. John est un peu à part, c’est le moins que l’on puisse dire. Il mène des travaux qui paraissent pour le moins ésotériques à ses camarades. Même ses professeurs ont du mal à le suivre. Pas de quoi décourager le gaillard, qui semble vite persuadé qu’il possède la caractéristique première des génies : une certaine inaccessibilité.
Bien vite, il se trouve tout de même quelqu’un pour s’intéresser au cerveau de Nash et à ses méthodes de calcul : un dénommé William Parcher, qui lui propose… de travailler pour les services secrets américains. Soulignons que tout se déroule dans les années 50. D'où le discours. « Votre mission, si vous l’acceptez, sera de lire les journaux pour y déceler les codes secrets de l’armée soviétique, laquelle prépare une attaque nucléaire sur le sol américain ». Mouais. J’avoue qu’à ce stade du film, disons dans sa première petite moitié, j’étais sceptique sur sa qualité et sur les raisons qui avaient poussé l’Académie des Oscars à lui décerner un Prix de film de l’année 2001 !
Je ne sais pas si cette récompense est méritée, mais tout s’est éclairé ensuite. Certes, j’étais encore « largué » quand John résout sa première énigme chiffrée, mais j’ai beaucoup mieux compris ensuite de quoi il était exactement question. Ce qui me fait dire que Un homme d’exception vaut le détour. Le film prend par surprise. C’est sans préavis qu'il bascule dans autre chose, et il le fait même d’un coup d’un seul. Je ne peux pas vous dire comment: ce serait gâcher le changement de cap qui fait tout l’intérêt de cette histoire vraie (!). Le fait est que c’est pour le moins surprenant, je dirais même déroutant. Au final, on est un peu abasourdi et on comprend effectivement que l’intelligence humaine est capable de grandes choses, de remarquables réussites sur l’adversité. Mais pas forcément celles auxquelles on aurait d’abord pensé…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire