Charles Bronson n'est sûrement pas le plus populaire des acteurs américains. Il n'empêche que j'ai eu envie d'écrire un petit mot sur lui aujourd'hui, jour du dixième anniversaire de sa disparition. Souvenirs marquants de l'homme à l'harmonica d'Il était une fois dans l'Ouest...
Même si j'ai finalement vu peu de ses films, Karol Dionizy Buczynski mérite d'après moi qu'on ne l'oublie pas. Sa carrière au cinéma commence assez tardivement, en 1951, alors qu'il a déjà 30 ans. Auparavant, il a été mineur de fond et mitrailleur dans un bombardier pendant la seconde guerre mondiale. Avant l'écran géant, il est attiré par les planches, non sans succès d'ailleurs. Issu d'une famille ouvrière d'origine polonaise et lituanienne, il joue fréquemment les Indiens pour Hollywood. Et devient traitre à sa tribu dans Bronco Apache...
Sergio Leone est sans aucun doute l'un des grands réalisateurs européens qui ont permis à Charles Bronson de faire valoir son talent sur le Vieux Continent. En 1970, avec Marlène Jobert, il tourne aussi sous la direction d'un Français: René Clément. Adapté du roman éponyme de Sébastien Japrisot, Le passager de la pluie obtient même le Golden Globe du meilleur film en langue étrangère. Il faut préciser que l'Américain y est doublé. Son personnage a un accent américain très prononcé, celui de l'acteur et réalisateur John Berry.
Connaissez-vous Michael Gordon Peterson ? Cet ancien boxeur gallois est considéré comme le prisonnier le plus violent de Grande-Bretagne. Il a choisi Charles Bronson comme pseudonyme, sans vouloir en faire une référence à l'acteur, paraît-il. Ce dernier a également fréquenté la prison, mais pour la fiction, dans La grande évasion. Il est toutefois souvent apparu en apôtre de la justice, fut-elle expéditive. Bronson, c'est bien sûr Un justicier dans la ville et ses quatre suites. Sylvester Stallone, qui envisageait un remake, a fini par y renoncer.
Même si j'ai finalement vu peu de ses films, Karol Dionizy Buczynski mérite d'après moi qu'on ne l'oublie pas. Sa carrière au cinéma commence assez tardivement, en 1951, alors qu'il a déjà 30 ans. Auparavant, il a été mineur de fond et mitrailleur dans un bombardier pendant la seconde guerre mondiale. Avant l'écran géant, il est attiré par les planches, non sans succès d'ailleurs. Issu d'une famille ouvrière d'origine polonaise et lituanienne, il joue fréquemment les Indiens pour Hollywood. Et devient traitre à sa tribu dans Bronco Apache...
Sergio Leone est sans aucun doute l'un des grands réalisateurs européens qui ont permis à Charles Bronson de faire valoir son talent sur le Vieux Continent. En 1970, avec Marlène Jobert, il tourne aussi sous la direction d'un Français: René Clément. Adapté du roman éponyme de Sébastien Japrisot, Le passager de la pluie obtient même le Golden Globe du meilleur film en langue étrangère. Il faut préciser que l'Américain y est doublé. Son personnage a un accent américain très prononcé, celui de l'acteur et réalisateur John Berry.
Connaissez-vous Michael Gordon Peterson ? Cet ancien boxeur gallois est considéré comme le prisonnier le plus violent de Grande-Bretagne. Il a choisi Charles Bronson comme pseudonyme, sans vouloir en faire une référence à l'acteur, paraît-il. Ce dernier a également fréquenté la prison, mais pour la fiction, dans La grande évasion. Il est toutefois souvent apparu en apôtre de la justice, fut-elle expéditive. Bronson, c'est bien sûr Un justicier dans la ville et ses quatre suites. Sylvester Stallone, qui envisageait un remake, a fini par y renoncer.
4 commentaires:
Merci pour ta visite sur mon blog. Je fais toujours en retour un petit aller retour sur les blogs de mes lecteurs... Mais je te mets de suite dans mes favoris. Je vais revenir souvent je crois !
Je découvre ce blog (en passant par "Mon cinéma jour après jour") et je sens que je vais y venir régulièrement.
Charles Bronson, malgré quelques films discutables, reste un acteur iconique. Sans lui, que serait "Il était une fois dans l'Ouest" ?
A bientôt !
Un charisme et un magnétisme inégalés, Charles. Il faut que je revoie tous ces films !
A voir "l'aigle solitaire" de Delmer Daves ou son interprétation de "Captain Jack" indien renégat est jubilatoire
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