Demain, pas de chronique du lundi: j'ai décidé de fêter le travail ! L'occasion aussi d'y réfléchir dès aujourd'hui sous l'angle du cinéma. Brièvement, hein ? C'est dimanche ! Allons-y pour un p'tit clin d'oeil...
J'ai tapé "travail et cinéma" dans Google Images et la première photo pertinente sortait d'un classique de Chaplin, Les temps modernes. Euh... à dire vrai, je ne suis pas sûr à 100% qu'elle apparaisse ainsi dans le film. En fait, je pencherai plutôt pour un visuel promotionnel ! Qu'en penserait le principal intéressé de nos jours, soit 87 années après la première diffusion en salles ? Mystère. Mais j'ose espérer qu'il serait heureux d'être encore connu pour avoir moqué la frénésie capitaliste et productiviste. Avant que cela lui cause de gros ennuis...
Un jour, il faudra que je me penche sur d'autres cinémas "sociaux" des origines. Remonter jusqu'à l'an 1925 pour voir La grève, l'oeuvre première du réalisateur soviétique Sergueï Eisenstein, me tente. L'occasion pourrait être belle d'ainsi relancer ma fibre exploratoire vers les films muets presque centenaires et qui ont traversé le temps. J'ignore quand je cèderai à cette envie, mais ça pourrait bien venir en mai, mois symbolique de renouveau s'il en est. On verra bien ! Avant cela, je vous donne rendez-vous mardi avec tout autre chose...
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Un petit détail...
La coïncidence est rigolote: ceci était ma chronique numéro 2936. 1936, c'était Les temps modernes... et, en France, les congés payés.
Une ultime précision...
Comme les autres, cette chronique est ouverte au débat argumenté et, plus spécifiquement, à vos suggestions de films liés au travail. J'ajoute que même les plus récents sont susceptibles de m'intéresser !
J'ai tapé "travail et cinéma" dans Google Images et la première photo pertinente sortait d'un classique de Chaplin, Les temps modernes. Euh... à dire vrai, je ne suis pas sûr à 100% qu'elle apparaisse ainsi dans le film. En fait, je pencherai plutôt pour un visuel promotionnel ! Qu'en penserait le principal intéressé de nos jours, soit 87 années après la première diffusion en salles ? Mystère. Mais j'ose espérer qu'il serait heureux d'être encore connu pour avoir moqué la frénésie capitaliste et productiviste. Avant que cela lui cause de gros ennuis...
Un jour, il faudra que je me penche sur d'autres cinémas "sociaux" des origines. Remonter jusqu'à l'an 1925 pour voir La grève, l'oeuvre première du réalisateur soviétique Sergueï Eisenstein, me tente. L'occasion pourrait être belle d'ainsi relancer ma fibre exploratoire vers les films muets presque centenaires et qui ont traversé le temps. J'ignore quand je cèderai à cette envie, mais ça pourrait bien venir en mai, mois symbolique de renouveau s'il en est. On verra bien ! Avant cela, je vous donne rendez-vous mardi avec tout autre chose...
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Un petit détail...
La coïncidence est rigolote: ceci était ma chronique numéro 2936. 1936, c'était Les temps modernes... et, en France, les congés payés.
Une ultime précision...
Comme les autres, cette chronique est ouverte au débat argumenté et, plus spécifiquement, à vos suggestions de films liés au travail. J'ajoute que même les plus récents sont susceptibles de m'intéresser !