Avec Pio Marmaï et Pierre Niney, je citerais volontiers François Civil parmi les acteurs trentenaires qui m'inspirent une vraie sympathie. C'est pour lui - et aussi pour le réalisateur Yann Gozlan - que l'envie d'une séance de rattrapage autour de Burn out m'est (re)venue. J'avoue que le cinéma de genre made in France me rend très curieux !
Tony travaille comme cariste dans un grand entrepôt logistique. Séparé d'avec la mère de son fils, il est repéré pour ses réels talents de pilote par une équipe de moto professionnelle. Ce début de rêve devient un véritable cauchemar: la pointe de vitesse de notre ami suscite ainsi l'intérêt d'individus peu fréquentables, à qui l'ex de Tony doit beaucoup d'argent. Piégé, le jeune homme va alors travailler pour eux afin d'éviter que la situation dégénère encore davantage. Autant le reconnaître: le scénario de Burn out manque d'originalité. Le film, lui, est ce que je peux appeler "un divertissement efficace". Comme je l'ai lu par ailleurs, la mise en scène parie sur sa dimension immersive: en clair, on ne lâche pas la roue du personnage principal. L'itinéraire est certes largement balisé, mais l'absence de surprise n'empêche pas le plaisir. François Civil s'en tire très honorablement. Yann Gozlan, lui, a fait mieux depuis, mais je ne veux pas chipoter...
Burn out
Film français de Yann Gozlan (2018)
Trois étoiles et demie auraient suffi, mais la réalisation a une tenue certaine, ce qui m'encourage donc aujourd'hui à arrondir ma notation. Un peu du même style, j'avais aimé Alaska et Le fidèle, deux films passés relativement inaperçus et qui pourraient vous satisfaire aussi. Une chose est sûre: pour la vitesse, il n'y a pas que Drive sur la grille de départ. Oui, j'imagine que les motard(e)s ont bien d'autres pistes !
Tony travaille comme cariste dans un grand entrepôt logistique. Séparé d'avec la mère de son fils, il est repéré pour ses réels talents de pilote par une équipe de moto professionnelle. Ce début de rêve devient un véritable cauchemar: la pointe de vitesse de notre ami suscite ainsi l'intérêt d'individus peu fréquentables, à qui l'ex de Tony doit beaucoup d'argent. Piégé, le jeune homme va alors travailler pour eux afin d'éviter que la situation dégénère encore davantage. Autant le reconnaître: le scénario de Burn out manque d'originalité. Le film, lui, est ce que je peux appeler "un divertissement efficace". Comme je l'ai lu par ailleurs, la mise en scène parie sur sa dimension immersive: en clair, on ne lâche pas la roue du personnage principal. L'itinéraire est certes largement balisé, mais l'absence de surprise n'empêche pas le plaisir. François Civil s'en tire très honorablement. Yann Gozlan, lui, a fait mieux depuis, mais je ne veux pas chipoter...
Burn out
Film français de Yann Gozlan (2018)
Trois étoiles et demie auraient suffi, mais la réalisation a une tenue certaine, ce qui m'encourage donc aujourd'hui à arrondir ma notation. Un peu du même style, j'avais aimé Alaska et Le fidèle, deux films passés relativement inaperçus et qui pourraient vous satisfaire aussi. Une chose est sûre: pour la vitesse, il n'y a pas que Drive sur la grille de départ. Oui, j'imagine que les motard(e)s ont bien d'autres pistes !
Bon ben je suis totalement passée à côté et j'ai l'impression de ne jamais en avoir entendu parler.
RépondreSupprimerDivertissant, mais basique, ce film.
RépondreSupprimerJe pense qu'il n'a pas connu un grand succès.