Une mini-chronique aujourd'hui pour reparler de Jean-Luc Godard. Prétendre que je porte le deuil du cinéaste disparu le 13 septembre serait mentir. Depuis maintenant quelques jours, je ressens toutefois une forme de regain d'intérêt - qui, de fait, me surprend moi-même. Étudiant, je me souviens que je me moquais d'un copain de promo fasciné par le sieur JLG et c'est comme si j'avais fait volte-face. Pierrot le fou reste un jalon important de ma cinéphilie "en germe". Sans doute faudrait-il que je me décide à voir À bout de souffle ! Cette semaine, j'ai acheté le dernier numéro de Cahiers du cinéma pour lire l'hommage que le journal a rendu à son ancien collaborateur. Ce billet est aussi une invitation à en rediscuter avec qui le voudra. Je ne porte pas le deuil, non. Mais Godard m'apparaît irremplaçable...
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Pour aller plus loin dès aujourd'hui...
Je conseille également les (beaux) textes de Pascale et Princécranoir.
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Pour aller plus loin dès aujourd'hui...
Je conseille également les (beaux) textes de Pascale et Princécranoir.
Oh merci.
RépondreSupprimerSi tu as vu Pierrot, c'est le plus et le plus merveilleux. Un des plus beaux films du monde.
Mais A bout de souffle pourrait te surprendre. En le replaçant dans l'époque, on comprend que ça a été une bombe. Et Jean-Paul <3
De rien. Je vais essayer de voir "À bout de souffle" sans trop tarder.
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