"Moi, mon colon, celle que j'préfère, c'est la guerre de 14-18"... il y a des admiratrices ou -teurs de Georges Brassens, par ici ? Il se peut que ce vers les incite à découvrir le film d'aujourd'hui: Cessez-le-feu. Les autres seraient inspirés de le voir aussi, car c'est un long-métrage sensible et intéressant. Une fiction, inspirée de la réalité des Poilus...
1916. La bataille fait rage sur le front de l'Argonne. Une tranchée française réunit des soldats épuisés, s'efforçant de tenir la position sous la mitraille ennemie. Georges Laffont s'en sort, mais un obus tombé à proximité propulse sur lui la chair de l'un de ses camarades. Sept ans passent: on retrouve l'ex-fantassin en Afrique, où il est parti pour tenter d'oublier l'horreur de ce qu'il a vécu. Un incident soudain l'oblige alors à rentrer en France et à retrouver son frère Marcel, muet depuis sa propre démobilisation. Comment revivre ? C'est la question essentielle que pose le scénario, écrit par le réalisateur lui-même. Élégant et romanesque, Cessez-le-feu repose en outre sur un casting remarquable: au premier rang, j'ai été ravi d'y revoir Romain Duris. Avec Céline Sallette, Julie-Marie Parmentier et Grégory Gadebois dans les autres rôles principaux, il y a de quoi contenter le cinéphile. Ma liste de belles oeuvres consacrées à la Première guerre mondiale s'allonge donc d'un nouvel opus, que vous pouvez regarder sans délai. J'insiste: pas besoin d'attendre la rituelle cérémonie du 11 novembre !
Cessez-le-feu
Film français d'Emmanuel Courcol (2017)
Une réussite à tous les points de vue: l'un des meilleurs films français que j'ai pu découvrir au cours du premier semestre de cette année. Âgé de 63 ans, le réalisateur indique que le premier conflit mondial fait partie de son histoire familiale. Son travail a la belle intensité d'autres oeuvres comme La chambre des officiers ou Les fragments d'Antonin. Hep ! Si vous avez d'autres références, je reste preneur...
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Quelques auteurs de blog ont vu le film avant moi...
Vous pourrez donc le retrouver chez Pascale, Dasola et Princécranoir.
1916. La bataille fait rage sur le front de l'Argonne. Une tranchée française réunit des soldats épuisés, s'efforçant de tenir la position sous la mitraille ennemie. Georges Laffont s'en sort, mais un obus tombé à proximité propulse sur lui la chair de l'un de ses camarades. Sept ans passent: on retrouve l'ex-fantassin en Afrique, où il est parti pour tenter d'oublier l'horreur de ce qu'il a vécu. Un incident soudain l'oblige alors à rentrer en France et à retrouver son frère Marcel, muet depuis sa propre démobilisation. Comment revivre ? C'est la question essentielle que pose le scénario, écrit par le réalisateur lui-même. Élégant et romanesque, Cessez-le-feu repose en outre sur un casting remarquable: au premier rang, j'ai été ravi d'y revoir Romain Duris. Avec Céline Sallette, Julie-Marie Parmentier et Grégory Gadebois dans les autres rôles principaux, il y a de quoi contenter le cinéphile. Ma liste de belles oeuvres consacrées à la Première guerre mondiale s'allonge donc d'un nouvel opus, que vous pouvez regarder sans délai. J'insiste: pas besoin d'attendre la rituelle cérémonie du 11 novembre !
Cessez-le-feu
Film français d'Emmanuel Courcol (2017)
Une réussite à tous les points de vue: l'un des meilleurs films français que j'ai pu découvrir au cours du premier semestre de cette année. Âgé de 63 ans, le réalisateur indique que le premier conflit mondial fait partie de son histoire familiale. Son travail a la belle intensité d'autres oeuvres comme La chambre des officiers ou Les fragments d'Antonin. Hep ! Si vous avez d'autres références, je reste preneur...
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Quelques auteurs de blog ont vu le film avant moi...
Vous pourrez donc le retrouver chez Pascale, Dasola et Princécranoir.
Oh la la je l'ai vu et aimé... et ne m'en souviens pas.
RépondreSupprimerJe crois qu'il est temps que je vois moins de films... Non, je ne pourrais pas.
C'est vraiment un beau film. Et du coup, il te donne envie d'en voir d'autres !
RépondreSupprimerBon... le sujet fait partie de mes centres d'intérêt les plus forts, histoire familiale oblige.