Il vaut sans doute mieux voir Le choix de Sophie sans rien savoir. Quand le titre est enfin expliqué, le secret le plus "lourd" a été révélé. Cela ne veut pas dire que tout devient inintéressant, mais l'émotion principale est passée, dirais-je. Vous voulez comprendre ? Le film mérite votre attention. Tout comme le roman dont il est l'adaptation !
D'ascendance polonaise, Sophie Zawitsowski vit dans le New York populaire du début des années 50. Elle a une relation amoureuse tumultueuse avec un Juif américain, Nathan Landau. Le personnage principal, un dénommé Stingo, emménage dans un appartement voisin de celui du couple. C'est ainsi que débute une histoire d'amitié. Ambigüe, dites-vous ? Je vais vous laisser le vérifier (et en juger). J'ai parlé d'un secret: à vrai dire, le scénario en dissimule plusieurs. J'ajoute que, comme le montre l'image ci-dessus, Sophie et Stingo finiront par se rapprocher. En révéler davantage serait fort malvenu ! Autant vous laisser découvrir au simple rythme du récit, à mon avis...
En dépit des apparences, Le choix de Sophie n'est pas un film romantique. Oui, c'est même un film assez dur, par certains aspects. Cela dit, je ne regrette pas de l'avoir vu, au contraire: Meryl Streep s'est avérée aussi touchante que je l'avais espéré et Kevin Kline remarquable dans le rôle de Nathan - son tout premier au cinéma. Peter MacNicol, que je connais moins et qui a fait une carrière relativement solide entre 1981 et 2012, est très bien également. D'après ce que j'ai lu par ailleurs, le long-métrage est fidèle au livre éponyme de William Styron, sorti seulement trois années auparavant. Je n'ai pas renoncé à le lire un jour. Et il en existe une version opéra !
Le choix de Sophie
Film américain d'Alan J. Pakula (1982)
Un sujet fort, de bons acteurs, une mise en scène digne: je confirme que je suis ravi de mon propre choix. C'est à l'heure de le comparer avec d'autres que j'ai du mal à situer le film... sans trop en dévoiler. Les quelques propositions d'Allociné ne m'ont pas du tout convaincu. En cherchant un peu plus loin, j'ai retrouvé À l'heure des souvenirs pour exemple d'un bon film où le passé ressurgit. Chuuuuuuuuuuuuut !
D'ascendance polonaise, Sophie Zawitsowski vit dans le New York populaire du début des années 50. Elle a une relation amoureuse tumultueuse avec un Juif américain, Nathan Landau. Le personnage principal, un dénommé Stingo, emménage dans un appartement voisin de celui du couple. C'est ainsi que débute une histoire d'amitié. Ambigüe, dites-vous ? Je vais vous laisser le vérifier (et en juger). J'ai parlé d'un secret: à vrai dire, le scénario en dissimule plusieurs. J'ajoute que, comme le montre l'image ci-dessus, Sophie et Stingo finiront par se rapprocher. En révéler davantage serait fort malvenu ! Autant vous laisser découvrir au simple rythme du récit, à mon avis...
En dépit des apparences, Le choix de Sophie n'est pas un film romantique. Oui, c'est même un film assez dur, par certains aspects. Cela dit, je ne regrette pas de l'avoir vu, au contraire: Meryl Streep s'est avérée aussi touchante que je l'avais espéré et Kevin Kline remarquable dans le rôle de Nathan - son tout premier au cinéma. Peter MacNicol, que je connais moins et qui a fait une carrière relativement solide entre 1981 et 2012, est très bien également. D'après ce que j'ai lu par ailleurs, le long-métrage est fidèle au livre éponyme de William Styron, sorti seulement trois années auparavant. Je n'ai pas renoncé à le lire un jour. Et il en existe une version opéra !
Le choix de Sophie
Film américain d'Alan J. Pakula (1982)
Un sujet fort, de bons acteurs, une mise en scène digne: je confirme que je suis ravi de mon propre choix. C'est à l'heure de le comparer avec d'autres que j'ai du mal à situer le film... sans trop en dévoiler. Les quelques propositions d'Allociné ne m'ont pas du tout convaincu. En cherchant un peu plus loin, j'ai retrouvé À l'heure des souvenirs pour exemple d'un bon film où le passé ressurgit. Chuuuuuuuuuuuuut !
Bonjour Martin K, film vu à l'époque et je ne suis pas près d'oublier quel était le choix qu'a du faire Sophie. Terrible. Un beau film vu en VO mais je sais que c'est Meryl Streep elle-même qui a doublé le film en VF avec un accent polonais. Bon samedi.
RépondreSupprimerSalut Dasola.
RépondreSupprimerJe me dis qu'une fois qu'on connaît le fin mot de l'histoire, on ne l'oublie jamais.
Merci pour l'anecdote sur Meryl Streep auto-doublée: je l'ignorais complétement, cette histoire !
Ah ce film ! Vu aussi à sa sortie et je n'ai jamais pu le revoir tant le choix de Sophie m'avait terrassée. On ne peut s'empêcher de se demander ce qu'on ferait à sa place... inconcevable.
RépondreSupprimerEt oui Meryl la surdouée se doublait elle-même et Kevin Kline... et bien toujours parfait.
Ah oui, la révélation (presque) finale est vraiment terrible, en effet !
RépondreSupprimerKevin Kline livre ici une prestation remarquable. Tu as raison de l'aimer autant.