Le film dont je vais vous parler aujourd'hui est le tout dernier avatar d'une saga de neuf longs-métrages, sortis à partir de décembre 1981. Sauf erreur de ma part, quinze ans après l'épisode précédent, il s'agit même d'un reboot, c'est-à-dire d'un retour à l'écran de personnages populaires (confiés à d'autres interprètes que les créateurs des rôles).
Cela étant dit, je suis obligé d'indiquer que Braquage à la suédoise ne vaut pas tripette. Las ! Le film nous présente d'abord deux voleurs relativement doués, capables de subtiliser une voiture en deux temps trois mouvements. L'élément perturbateur vient de la "gourmandise" avérée du plus âgé des larrons, lequel s'empare d'un luxueux véhicule appartenant à une banquière peu regardante sur l'origine des fonds gérés par son groupe financier. D'où un règlement de compte sanglant orchestré par un flic corrompu, qui laisse l'autre filou sans complice...
Heureusement, une nouvelle bande est rapidement mise sur pied ! Comme (trop ?) souvent dans les films du genre, il sera donc question d'une forme de code d'honneur chez les voleurs et d'une revanche prise sur l'ennemi, dépouillé de toutes ses richesses. Vous savez combien j'attache d'importance au fait de ne pas tout vous raconter de l'intrigue des films que je présente ici. Le truc, c'est que Braquage à la suédoise ne réserve AUCUNE surprise. Tout à fait banal, il laisse une impression de déjà vu, sur le fond et sur la forme. Très frustrant.
La nationalité suédoise du film pouvait laisser espérer autre chose. C'est un fait: depuis quelques années, nos amis et lointains voisins scandinaves se sont taillé une jolie réputation du côté des polars. Souvent d'une très grande noirceur, leurs oeuvres cinématographiques et littéraires font parfois forte impression. Or, rien de tel dans le cas qui nous occupe aujourd'hui: les quelques (petites) pointes d'humour de Braquage à la suédoise n'empêchent pas l'intrigue de vite tomber à plat. Pas de doute, à mon sens: il y avait beaucoup mieux à faire...
Braquage à la suédoise
Film suédois d'Alain Darborg (2015)
Le titre français de ce Jönssonligan inédit dans les salles françaises capitalise sur celui d'autres longs-métrages sortis dans les pays francophones sous un nom proche (exemple: Braquage à l'anglaise). L'un dans l'autre, cela ne va rien changer à la qualité - très moyenne - du scénario de cette production, à la hauteur d'une série B de la télé. Vous avez le droit d'aimer, hein ? Mais on peut s'en passer, je crois...
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Bon, j'avance toujours d'une case Movie Challenge...
Je m'en sors au moins en validant l'objectif n°2: "Le film m'a déçu". Cela dit, pour être honnête, je n'en attendais rien de bien particulier !
Cela étant dit, je suis obligé d'indiquer que Braquage à la suédoise ne vaut pas tripette. Las ! Le film nous présente d'abord deux voleurs relativement doués, capables de subtiliser une voiture en deux temps trois mouvements. L'élément perturbateur vient de la "gourmandise" avérée du plus âgé des larrons, lequel s'empare d'un luxueux véhicule appartenant à une banquière peu regardante sur l'origine des fonds gérés par son groupe financier. D'où un règlement de compte sanglant orchestré par un flic corrompu, qui laisse l'autre filou sans complice...
Heureusement, une nouvelle bande est rapidement mise sur pied ! Comme (trop ?) souvent dans les films du genre, il sera donc question d'une forme de code d'honneur chez les voleurs et d'une revanche prise sur l'ennemi, dépouillé de toutes ses richesses. Vous savez combien j'attache d'importance au fait de ne pas tout vous raconter de l'intrigue des films que je présente ici. Le truc, c'est que Braquage à la suédoise ne réserve AUCUNE surprise. Tout à fait banal, il laisse une impression de déjà vu, sur le fond et sur la forme. Très frustrant.
La nationalité suédoise du film pouvait laisser espérer autre chose. C'est un fait: depuis quelques années, nos amis et lointains voisins scandinaves se sont taillé une jolie réputation du côté des polars. Souvent d'une très grande noirceur, leurs oeuvres cinématographiques et littéraires font parfois forte impression. Or, rien de tel dans le cas qui nous occupe aujourd'hui: les quelques (petites) pointes d'humour de Braquage à la suédoise n'empêchent pas l'intrigue de vite tomber à plat. Pas de doute, à mon sens: il y avait beaucoup mieux à faire...
Braquage à la suédoise
Film suédois d'Alain Darborg (2015)
Le titre français de ce Jönssonligan inédit dans les salles françaises capitalise sur celui d'autres longs-métrages sortis dans les pays francophones sous un nom proche (exemple: Braquage à l'anglaise). L'un dans l'autre, cela ne va rien changer à la qualité - très moyenne - du scénario de cette production, à la hauteur d'une série B de la télé. Vous avez le droit d'aimer, hein ? Mais on peut s'en passer, je crois...
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Bon, j'avance toujours d'une case Movie Challenge...
Je m'en sors au moins en validant l'objectif n°2: "Le film m'a déçu". Cela dit, pour être honnête, je n'en attendais rien de bien particulier !
Hello Martin. Alors celui-là je ne sais pas où tu l'as déniché. Pour être inédit il est inédit. Je le bannis de ma mémoire où il n'était jamais entré. A bientôt l'ami et bon "Ride".
RépondreSupprimerJe crois n'avoir vu que le 1er. Braquage à l'anglaise je crois. Je ne savais pas qu'il y en avait 9 du même tonneau. Un peu comme les Fast and furious... et là encore je me suis arrêtée sans difficulté au 1er.
RépondreSupprimer@Eeguab:
RépondreSupprimerJe l'ai déniché sur l'une des chaînes auxquelles je suis abonné.
Mais c'est un fait: ce n'était pas le meilleur long-métrage disponible !
@Pascale:
RépondreSupprimerIl y a plusieurs "Braquage", mais la série des neuf concerne les films suédois avec les mêmes personnages.
Cela dit, en effet, comme pour "Fast and furious", on peut s'arrêter au premier. Ou même avant de commencer.