Le week-end de Pentecôte désormais derrière nous, il est donc temps pour moi de renouer avec mon fil rouge et de vous présenter ce jour l'un des blogs ciné que je fréquente régulièrement: "Le tour d'écran". Cette page au goût très sûr est l'oeuvre du dénommé Princécranoir. Récemment, ce cinéphile chevronné s'est décidé à tout (?) changer...
C'est en effet en un autre lieu (virtuel) que j'ai commencé à apprécier la lecture de ses chroniques. Je ne sais s'il voudra nous expliquer pourquoi, mais Princécranoir a abandonné "Ma bulle", le premier site qui accueillait sa prose depuis une dizaine d'années. Vous pourrez toutefois constater qu'il reste un vrai passionné du septième art. Doté de solides références, cinématographiques et autres, notre compère titille régulièrement ma curiosité et m'incite à aller chercher plus loin les films qui pourraient - ou devraient - me régaler. C'est un bonheur d'échanger avec lui, chez lui ou chez moi, sur des oeuvres communes ou chacun sur ses coups de coeur / de griffe. Et le voici qui arrive...
Princécranoir, quel est ton plus ancien souvenir lié au cinéma ?
Il est assez flou, puisqu'il remonte à mes plus jeunes années. Mes parents étaient allés voir avec moi Les dents de la mer alors que j'étais loin d'avoir l'âge requis. J'ai immédiatement été pris dans les mâchoires du cinéma, en partie traumatisé par cet énorme requin qui m'a ouvert un appétit vorace pour les films d'horreur.
C'est en effet en un autre lieu (virtuel) que j'ai commencé à apprécier la lecture de ses chroniques. Je ne sais s'il voudra nous expliquer pourquoi, mais Princécranoir a abandonné "Ma bulle", le premier site qui accueillait sa prose depuis une dizaine d'années. Vous pourrez toutefois constater qu'il reste un vrai passionné du septième art. Doté de solides références, cinématographiques et autres, notre compère titille régulièrement ma curiosité et m'incite à aller chercher plus loin les films qui pourraient - ou devraient - me régaler. C'est un bonheur d'échanger avec lui, chez lui ou chez moi, sur des oeuvres communes ou chacun sur ses coups de coeur / de griffe. Et le voici qui arrive...
Princécranoir, quel est ton plus ancien souvenir lié au cinéma ?
Il est assez flou, puisqu'il remonte à mes plus jeunes années. Mes parents étaient allés voir avec moi Les dents de la mer alors que j'étais loin d'avoir l'âge requis. J'ai immédiatement été pris dans les mâchoires du cinéma, en partie traumatisé par cet énorme requin qui m'a ouvert un appétit vorace pour les films d'horreur.
Qu'est-ce que le cinéma apporte dans ta vie ?
Comme pour d'autres sans doute, les films sont pour moi des fenêtres ouvertes sur d'autres cultures, d'autres vies, d'autres univers. J'aime avec eux traverser les époques tandis qu'ils me transportent d'émotions diverses et variées. Je me sens parfois comme ces prisonniers au fond de la caverne de Platon, qui regardent se mouvoir les ombres sur les parois tandis que la vie bat son plein au dehors. Cette vie parfois m'éblouit tellement que je peine à y voir clair. Je me demande finalement si je ne préfère pas me réfugier dans ce monde de ténèbres, plus confortable (quand les sièges du ciné ne sont pas en vrac). Je ne suis pas le Princécranoir pour rien...
Comme pour d'autres sans doute, les films sont pour moi des fenêtres ouvertes sur d'autres cultures, d'autres vies, d'autres univers. J'aime avec eux traverser les époques tandis qu'ils me transportent d'émotions diverses et variées. Je me sens parfois comme ces prisonniers au fond de la caverne de Platon, qui regardent se mouvoir les ombres sur les parois tandis que la vie bat son plein au dehors. Cette vie parfois m'éblouit tellement que je peine à y voir clair. Je me demande finalement si je ne préfère pas me réfugier dans ce monde de ténèbres, plus confortable (quand les sièges du ciné ne sont pas en vrac). Je ne suis pas le Princécranoir pour rien...
Comment choisis-tu les films que tu vas voir ?
Depuis que les films m'ont pris en otage, je me suis constitué une liste de réalisateurs (de kidnappeurs ?) de prédilection qui m'obligent la plupart du temps à faire le déplacement jusque dans la salle. Certains films attirent mon attention de par leur sujet, ou par leur audace. Lorsqu'un film fait le buzz, je suis tenté de me faire une idée. Sinon, il y a tous ces classiques qui parsèment les anthologies et qui n'ont de cesse de me faire de l'œil. Lorsque je découvre l'un d'entre eux, ce sont des dizaines d'autres qui se ruent pour me faire les yeux doux. Alors ils me courtisent en attendant patiemment leur heure qui viendra un jour ou l'autre. Je ne suis pas un cinévorace. Je prends le temps de savourer, je consomme avec parcimonie.
Depuis que les films m'ont pris en otage, je me suis constitué une liste de réalisateurs (de kidnappeurs ?) de prédilection qui m'obligent la plupart du temps à faire le déplacement jusque dans la salle. Certains films attirent mon attention de par leur sujet, ou par leur audace. Lorsqu'un film fait le buzz, je suis tenté de me faire une idée. Sinon, il y a tous ces classiques qui parsèment les anthologies et qui n'ont de cesse de me faire de l'œil. Lorsque je découvre l'un d'entre eux, ce sont des dizaines d'autres qui se ruent pour me faire les yeux doux. Alors ils me courtisent en attendant patiemment leur heure qui viendra un jour ou l'autre. Je ne suis pas un cinévorace. Je prends le temps de savourer, je consomme avec parcimonie.
Le lieu idéal et le moment parfait pour voir un film ?
Le lieu idéal, c'est évidemment la salle obscure et de préférence lorsque la salle est silencieuse et la communion avec le film parfaite. J'ai notamment le souvenir très fort de la projection de 2001 lors de sa ressortie à l'orée du nouveau millénaire, tard le soir, dans une grande salle au trois quart vide. J'ai cru faire le voyage avec Dave. Hélas, ces moments tendent à disparaître puisque la consommation cinématographique évolue, le public aussi.
Le lieu idéal, c'est évidemment la salle obscure et de préférence lorsque la salle est silencieuse et la communion avec le film parfaite. J'ai notamment le souvenir très fort de la projection de 2001 lors de sa ressortie à l'orée du nouveau millénaire, tard le soir, dans une grande salle au trois quart vide. J'ai cru faire le voyage avec Dave. Hélas, ces moments tendent à disparaître puisque la consommation cinématographique évolue, le public aussi.
Je te propose de voir un film. Qu'est-ce qui te fera accepter ?
Je suis assez curieux de nature, prêt à découvrir à peu près toutes sortes de films, dans des genres très variés. Peut-être certains noms de réalisateurs me feront grincer des dents, mais j'accepterai volontiers de surmonter mes a priori.
Je suis assez curieux de nature, prêt à découvrir à peu près toutes sortes de films, dans des genres très variés. Peut-être certains noms de réalisateurs me feront grincer des dents, mais j'accepterai volontiers de surmonter mes a priori.
Ta passion pour le cinéma te semble-t-elle communicative ?
Je partage assez peu cette passion en dehors du cercle des blogueurs. J'ai quelques amis amateurs de cinéma avec qui échanger, mais ce sont des cinéphiles déjà convaincus. Cela dit, je respecte chaque manière de profiter d'une offre cinématographique, assez abondante il faut bien le reconnaître, et qui veille à contenter tous les goûts.
Je partage assez peu cette passion en dehors du cercle des blogueurs. J'ai quelques amis amateurs de cinéma avec qui échanger, mais ce sont des cinéphiles déjà convaincus. Cela dit, je respecte chaque manière de profiter d'une offre cinématographique, assez abondante il faut bien le reconnaître, et qui veille à contenter tous les goûts.
Tes cinq derniers coups de coeur de cinéma ?
Difficile d'établir une liste, c'est une notion très fluctuante. Je tente le coup sachant que j'aurai sans doute changé d'avis dans peu de temps...
Difficile d'établir une liste, c'est une notion très fluctuante. Je tente le coup sachant que j'aurai sans doute changé d'avis dans peu de temps...
2. Jeff Nichols,
3. Pablo Larrain,
4. Virginie Efira,
5. Adèle Haenel.
Les cinq prochains que tu attends avec impatience ?
J'ai tendance à ne pas trop fixer l'horizon cinématographique et préfère découvrir les films à mesure qu'ils se présentent à moi. J'avoue que le festival de Cannes est néanmoins source de curiosité, et quelques titres forcément m'interpellent (dans le désordre):
J'ai tendance à ne pas trop fixer l'horizon cinématographique et préfère découvrir les films à mesure qu'ils se présentent à moi. J'avoue que le festival de Cannes est néanmoins source de curiosité, et quelques titres forcément m'interpellent (dans le désordre):
1. Okja de Bong Joon-Ho,
2. The Meyerowitz stories de Noah Baumbach,
3. Les proies de Sofia Coppola,
4. Wondertruck de Todd Haynes,
5. Before we vanish de Kiyoshi Kurozawa.
Quels seraient les dix films que tu me conseillerais ?
Le fameux top ten impossible ! Un peu comme précédemment, je ne pourrai que pester ensuite d'avoir oublié tel ou tel. Puisqu’il n'en faut que dix, ce seront ceux-là:
Le fameux top ten impossible ! Un peu comme précédemment, je ne pourrai que pester ensuite d'avoir oublié tel ou tel. Puisqu’il n'en faut que dix, ce seront ceux-là:
1. L’aurore de Friedrich Wilhelm Murnau,
2. 2001, l'odyssée de l’espace de Stanley Kubrick,
3. La charge héroïque de John Ford,
4. La vie est belle de Frank Capra,
5. Pat Garrett et Billy le Kid de Sam Peckinpah,
6. The big Lebowski des frères Coen,
7. Phantom of the Paradise de Brian de Palma,
8. Le solitaire de Michael Mann,
9. Le deuxième souffle de Jean-Pierre Melville,
10. Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki.
Dix personnalités de cinéma à choisir... qui retiens-tu ?
Les pionniers et quelques inventeurs de formes:
Les pionniers et quelques inventeurs de formes:
1. Auguste et Louis Lumière,
2. Georges Méliès,
3. Charles Chaplin,
4. D. W. Griffith,
5. Frierich Wilhelm Murnau,
6. Sergueï Eisenstein,
7. Dziga Vertov,
8. Jean Cocteau,
9. John Ford,
10. Alfred Hitchcock.
Pourquoi un beau jour avoir décidé d'écrire un blog ?
Un peu comme beaucoup, j'ai l’impression. À force d'enquiller les films, de nourrir une cinéphilie de plus en plus ample et variée, j'ai trouvé nécessaire de coucher par écrit mes impressions sur les films vus ou revus. Et plutôt que de garder mes avis pour moi, je me suis dit qu'un blog était peut-être aussi l'opportunité de partager ces impressions avec d’autres. C'était sur feu Mabulle en mars 2007. Et puis, une ligne en entraînant une autre…
Un peu comme beaucoup, j'ai l’impression. À force d'enquiller les films, de nourrir une cinéphilie de plus en plus ample et variée, j'ai trouvé nécessaire de coucher par écrit mes impressions sur les films vus ou revus. Et plutôt que de garder mes avis pour moi, je me suis dit qu'un blog était peut-être aussi l'opportunité de partager ces impressions avec d’autres. C'était sur feu Mabulle en mars 2007. Et puis, une ligne en entraînant une autre…
Qu'est-ce qui te décide à parler d'un film sur ton blog ?
Je me suis fixé une règle assez (trop ?) draconienne qui consiste à écrire sur TOUS les films que je vois.
Je me suis fixé une règle assez (trop ?) draconienne qui consiste à écrire sur TOUS les films que je vois.
Les cinq films que tu as défendus contre l'avis général ?
1. Miami Vice de Michael Mann,
Car on ne me fera jamais dire du mal d'un film de Mann, surtout quand il s'agit d’un chef d’œuvre.
1. Miami Vice de Michael Mann,
Car on ne me fera jamais dire du mal d'un film de Mann, surtout quand il s'agit d’un chef d’œuvre.
2. Hacker de Michael Mann,
Pour les mêmes raisons que précédemment.
3. Jennifer’s body,
Une chouette série B signée Karyn Kusama dont j'avais aimé les références vintage et le côté mal poli.
4. The revenant d'Alejandro González Iñárritu,
Parce qu'on a parfois tendance à faire la fine bouche.
5. Les 8 salopards de Quentin Tarantino,
Parce que marier Samuel Beckett à Lucio Fulci, il faut quand même le faire.
4. Moi, Daniel Blake,
Malgré toute la sympathie que je peux avoir pour Ken Loach.
5. Fury de David Ayer,
Sentiment confirmé après avoir vu Suicide Squad.
Quelle place sur ton blog pour autre chose que le cinéma ?
Aucune.
Aucune.
Questions plus personnelles, pour finir. Quel est ton prénom ?
Prince (également appelé le Love symbol).
Prince (également appelé le Love symbol).
Quel âge as-tu ?
Je suis plus vieux que le président de la République.
Je suis plus vieux que le président de la République.
Qu'est-ce que tu fais dans la vie ?
Enseignant en primaire.
Enseignant en primaire.
Où habites-tu ?
Dans l'Aisne.
Dans l'Aisne.
Avec le cinéma, quel autre art préfères-tu ?
A-wop-bom-a-loo-mop-a-lomp-bam-boom !
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Avant de finir, un petit rappel...
L'ami Princécranoir n'est pas le seul à s'être prêté au jeu de l'interview embobinée. Je vous invite à relire les réponses de Pascale, Dasola, Sentinelle, Tina, Strum, Chonchon, Eeguab et Laurent. Leurs blogs vous offriront d'agréables lectures... avant ou après "Le tour d'écran".
A-wop-bom-a-loo-mop-a-lomp-bam-boom !
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Avant de finir, un petit rappel...
L'ami Princécranoir n'est pas le seul à s'être prêté au jeu de l'interview embobinée. Je vous invite à relire les réponses de Pascale, Dasola, Sentinelle, Tina, Strum, Chonchon, Eeguab et Laurent. Leurs blogs vous offriront d'agréables lectures... avant ou après "Le tour d'écran".
Merci Martin (une initiative toujours aussi sympathique) et merci princécranoir pour tes réponses. Je prends toujours du plaisir à lire tes textes bien tournés et je suis heureux que l'aventure se poursuive sur letourdecran.
RépondreSupprimerStrum
Merci Martin pour nous avoir fait mieux connaître l'ami Prince du Tour d'Ecran, qui est pourtant axonais comme moi. A bientôt.
RépondreSupprimerMerci, Martin, de nous offrir l'occasion de mieux connaître le Princécranoir, dont les colonnes sont un régal d'intelligence et de culture.
RépondreSupprimerJ'adore toujours autant cette chronique et je pense beaucoup de bien de notre ami Le Prince ! :D Ses articles ? De la poésie. Et toujours argumenté. On est d'accord ou pas avec son avis, mais au moins ce qu'il dit fait réfléchir.
RépondreSupprimerBref,Comme toi Prince, The Lost City of Z fait partie de mes derniers coups de coeur !
Je suis aussi le festival de Cannes donc forcément je compte voir pas mal de films ! :D
Du coup question : as-tu l'âge de Brigitte Macron ? :p
Merci à tous, et surtout à Martin qui m'a proposé d'épingler ma tête au tableau de chasse de la blogocinéphilie.
RépondreSupprimerJe vais faire mon possible pour que mes écrits continuent d'interpeler vos sensibilités critiques, quitte à les froisser parfois, ou bien les caresser dans le bon ou le mauvais sens de la plume.
Avec notre ami Edualc, nous faisons en sorte que le département qui a vu naître La Fontaine et Jean Racine, soit à l'honneur pour de bonnes raisons. Et je ne dis pas ça juste pour faire mon cinéma. :-)
Non, Tina, je n'ai pas encore atteint l'âge de Bibi, ça te laisse une fourchette raisonnable pour situer ma date de naissance. ;-)
@Strum:
RépondreSupprimerMerci de ton intérêt pour ma série d'interviews blogueurs, l'ami !
Je me réjouis tout particulièrement que Princécranoir se soit montré aussi bavard.
@Eeguab:
RépondreSupprimerLa dream team de l'Aisne, vous êtes vraiment trop forts !
Il faut bien dire que j'aime beaucoup vos blogs respectifs, chacun dans son style.
@Laurent:
RépondreSupprimerJe t'en prie, tout le plaisir est pour moi, d'autant que je partage pleinement ton opinion sur notre camarade.
@Tina:
RépondreSupprimerEntièrement d'accord avec tout ce que tu as écrit.
Et tu m'as bien fait rire avec ton incroyable référence à Mme Macron !
@Princécranoir:
RépondreSupprimerC'était un vrai plaisir que te mettre (un peu plus) dans la lumière, cher ami !
Quel que soit le sens de la plume et du poil, je te remercie de continuer à solliciter nos méninges et avis.
Et je note avec délectation que, malgré la fourchette, tu n'es toujours pas passé à table !
Je ne connais pas du tout, mais un cinéphile qui considère 2 flics à Miami comme un chef d'oeuvre ça doit être un comique !
RépondreSupprimerTutti frutti...
Au Rutti !
RépondreSupprimerMerci l'amie amie Pascale, tu m'as bien cerné.
Je me doutais bien que cette histoire de flics aux yeux globuleux avec une chinoise sous la douche était une feinte !
Supprimer@Pascale:
RépondreSupprimerOn ne se moque pas de ses petits camarades ! Chacun a ses lubies, n'est-ce pas ?
Lubie au point de considérer 2 keufs à Miami comme un chef d'oeuvre ??? J'aime cet humour.
Supprimer@Princécranoir:
RépondreSupprimerDois-je comprends que tu te rends ? Si tu es cerné...
Sur cette blague tout à fait vaseuse, je file réécouter du Little Richard.
Les deux mon lieutenant Castillo. Je t'accorde bien volontiers ce bon mot laborieux dont j'aurais moi-même pu me fendre, m'exposant ainsi imprudemment aux flèches du Parthe décochées par cette impayable archère de Pascale.
RépondreSupprimerImpayable ! Absolument. T'auras pas un rond.
Supprimer@Princécranoir:
RépondreSupprimerL'archère a une sacrée réactivité, tu as vu ? Au réveil, c'est costaud !
@Pascale 1:
RépondreSupprimerJe n'ai pas vu le film. Je ne peux pas te le confirmer.
Ne perds pas ton temps. Fie toi à moi.
Supprimer@Pascale 2:
RépondreSupprimerAllez, en cherchant bien, je suis sûr que tu nous trouverais aussi une p'tite lubie à toi !
Une lubie serait un film que jadore et que tout le monde a détesté ?
SupprimerLes misérables avec Hugh Jackman. J'ai même le CD dans ma voiture et je pleure en l'écoutant... on revient de loin là.
@Pascale 3:
RépondreSupprimerQuelle intransigeance ! Cela dit, c'est vrai que tu es impayable, donc bon...
Ouf.
RépondreSupprimer@Pascale 1:
RépondreSupprimerOK, je vais faire ça. Mais Princécranoir risque de me demander pourquoi toi et pas lui !
Tu lui diras parce que...
Supprimer@Pascale 2:
RépondreSupprimerTu en avais cités d'autres, quand je t'avais posé à la question (en octobre l'année dernière).
À savoir "Café de Flore", "Oxygène", "L'homme sans âge", "The fountain" et "L'assassinat de Jesse James".
Mais, évidemment, une telle liste évolue au fil du temps. Et c'est bien d'avoir des lubies !
C'est pas des lubies !
SupprimerMais dire que 2 keufs est un chef d'oeuvre est pure folie.
@Pascale 3:
RépondreSupprimerOuf ? Pourquoi ouf ?
Parce que le nombre de commentaires sous cette chronique dépasse la norme ?
Ouf parce que j'ai rien à payer.
SupprimerQuels échanges ! On se croirait sur la terre battue ! Je tente une balle de break :
RépondreSupprimerMiss Pascale a des goûts très sûrs en matière de beau mecs (Charlie Hunnam, Paul Newman, Hugh Jackman ou bien le Mel Gibson chevelu et crasseux qui fit hurler Tina Turner sous le Dôme du Tonnerre) mais visiblement moins sensible à Colin Farrell et ses yeux de cocker en pleine bromance tempétueuse avec son Partner from New York. C'est un choix qui se respecte.
Les lubies de Pascale ne sont pas les pires films du monde (pour ce que je connais) : "L'assasinat de Jesse James" et "l'homme sans âge" sont deux très grands films à mes yeux.
N'ayant pas vu "les Misérables" avec Jackman, je ne peux juger.
Avantage...
RépondreSupprimerOui les beaux mecs c'est ma came à m'en faire péter les cloisons nasales.
Et Colin et son balai à chiotte sous le nez et ses yeux globuleux et son jeu approximatif me laissaient de marbre, surtout dans un film aussi tarte ! Depuis, il est vraiment monté en grade dans mon top. Notamment avec un film (que personne n'a vu (Ondine de Neil Jordan)) et Bons baisers de Brugge. Depuis, je vais voir ses films les yeux fermés... enfin façon de causer ! Et je le trouve parfait (même si trop de poils à mon goût, j'aime les blonds).
Ah donc tu aimes cette merveille de L'homme sans âge ? Et Jesse... j'en cause même pas, il m'hypnotise toujours.
Quant aux Misérables, tu détesterais je pense.
Eeguab et Prince sont donc tous les deux.... axonais (j'en apprends tous les jours). Merci pour cette chronique en tout cas !
RépondreSupprimerQuant à Hugh Jackman (puisqu'on en parle aussi), je me souviendrai toujours de cette douche improvisée dans le film Australia de Baz Luhrmann, sous les yeux médusés de Nicole Kidman (et des miens aussi). Un grand moment de cinéma :)
Bon, sur cette riche contribution, je remets la balle au centre ?
Parler de Hugh Jackman sous la douche sera toujours une riche contribution. J'aimerais qu'il se lave plus souvent dans les films d'ailleurs.
Supprimer@Pascale 1:
RépondreSupprimerParce queeeeeeeeeeeee ! OK, je ferai ça.
@Pascale 2:
RépondreSupprimerLubies, folies, fantaisies... le cinéma est conçu pour ces choses-là.
@Pascale 3:
RépondreSupprimerOuf ! Je comprends mieux.
@Princécranoir:
RépondreSupprimerJe connais moi aussi les goûts masculins de Pascale... en tout cas, en partie.
Il se trouve que je partage surtout certains de ses goûts cinématographiques.
Avec vos coups de raquette, vous me donnez tous deux envie de voir ce Coppola méconnu !
Dis moi pas que c'est pas vrai que tu n'as pas vu l'homme sans âge ??? Il me bouleverse ce film.
Supprimer@Pascale 4 (!):
RépondreSupprimerMoi, c'est du côté de chez Woody Allen ("Le rêve de Cassandre") que Colin m'a marqué durablement.
Pas DU TOUT envie de voir "Les misérables", le côté chanté étant pour moi un franc repoussoir.
Mais tout cela est un autre sujet. Ou pas.
Ah oui il était formidable aussi chez Woody. C'est d'ailleurs le seul qui n'a pas cherché à l'imiter.
Supprimer@Sentinelle:
RépondreSupprimerAvec toi, on va pouvoir jouer en double. Je m'y perds... à qui le service ?
Et merci d'être passée lire cette (longue) chronique et ces (interminables) commentaires.
Changement de côté et balles neuves !
@Pascale 1:
RépondreSupprimerAh ah ah ! J'aime cette harmonie que tu trouves avec Sentinelle !
Ben Hugh Jackman sous la douche... on est pas de bois.
Supprimer@Pascale 2:
RépondreSupprimerNon, je n'ai pas vu ce Coppola. Il est toujours passé sous mes radars.
OMG ! Comment tu tiens le coup ?
Supprimer@Pascale 3:
RépondreSupprimerLe rôle de Colin chez Woody n'incitait pas franchement à une imitation.
Au fait, si tu veux, tu peux retrouver une chronique du film sur ce même blog.
Eh oh je passe déjà du temps sur ce blog...
Supprimer@Pascale 1:
RépondreSupprimerJ'peux comprendre. Et donc, j'admets.
@Pascale 2:
RépondreSupprimerTu sais bien: je regarde d'autres films, en attendant d'avoir l'occasion de voir celui-là.
@Pascale 3:
RépondreSupprimerJe n'ai pas dit le contraire. Merci.
Bon. Je t'encourage à admirer à ton tour.
RépondreSupprimerOui mais quand même... enfin, du moment que tu privilégies L'homme dans âge aux vicieux de miami...
à ce propos CF sous la douche n'a rien à voir avec HJ sous la douche. Et de mémoire TR ne prend pas de douche.
Tu n'en doutes pas ? J'espère que tu t'en rends compte !!! En plus je suis en train de te faire battre le record du plus grand nombre de commentaires. Le mien doit être dans les 80... de sinistre mémoire...
80 ! Je remonte illico dans ma Ferrari pied au plancher pour monter le compteur à ton niveau. :-)
RépondreSupprimerJe me sens toutefois moins concerné par ce défilé de mâles à la toilette. Dans "Miami Vice" (parce que je trouve que ça fait bien longtemps qu'on n'a pas parlé de ce grand film je trouve), c'est Jamie Foxx qui passe sous le jet, bien vite rejoint par sa dulcinée jouée par Naomie Harris.
Comme toi Martin, je ne suis pas tenté du tout par "les Misérables", et en plus je doute que Jean Valjean s'y prenne des douches à tout bout de chant. ;-)
Ne me dis pas que tu as oublié la sublime scène de Gong et Colin sous la douche ???
RépondreSupprimerBon j'ai pas retrouvé la scène... mais le comique de ces passages hideux donnent une bonne idée de la bonne tenue de l'ensemble où contractuellement Madame Li doit se contorsionner pour qu'on ne lui voit pas un poil de cul :-)))
https://youtu.be/mqdGgjDFhu0
Et Jean Valjean est auto-nettoyant je crois.
@Pascale (qui me parle):
RépondreSupprimerJ'admire beaucoup de choses, mais les hommes sous la douche me laissent froid.
Il est plus que probable que je privilégie Francis Ford Coppola à Michael Mann, oui.
Et bien sûr que je me rends compte du temps que tu passes ici !
@Princécranoir:
RépondreSupprimer"Les Misérables", oui... s'il fallait vraiment m'y plonger, j'irais le lire !
Avec vos histoires de tuyauterie, là, je commence à me dire qu'il faudrait que je fasse une anthologie des scènes de douche au cinéma, avant que ne ça vire à la psychose...
@Pascale (qui ne lâche rien):
RépondreSupprimerTu ne serais quand même pas jalouse de notre chère Gong, tout de même ?