J'ai manqué la rediffusion récente de la première trilogie. Ce devrait être fait bientôt, mais je n'ai encore rien publié sur le dernier volet de la deuxième. Je me refuse à regarder les toutes premières images de la troisième, en tout cas pour le moment. Vous pourriez imaginer que je ne m'intéresse pas - ou plus - à la grande saga Star Wars. Auquel cas, je tiens à vous le dire aujourd'hui: vous vous tromperiez.
J'ai tout au plus attendu cette date symbolique pour en redire quelques mots. Pourquoi diable le 18 décembre ? Tout simplement parce que, dans un an jour pour jour, le septième volet est annoncé sur nos écrans français - pour ce qui serait une sortie simultanée France/USA. Le titre: Stars Wars épisode VII - Le réveil de la Force. Après un accueil un peu froid, j'ai l'impression désormais que le film suscite davantage d'attente que d'inquiétude. Mêmes les sceptiques semblent accorder à J.J. Abrams le bénéfice du doute: qu'il ait réalisé quelques épisodes de Star Trek ne paraît même plus devoir faire obstacle à sa crédibilité. Il faut dire que les fans de toujours s'enthousiasment déjà du casting et du (grand ?) retour programmé des héros originels. Avec Carrie Fisher, Mark Hamill et Harrison Ford de retour pour reprendre leurs rôles respectifs de la princesse Leia, Luke Skywalker et Han Solo, la production a rassuré les puristes. Reste "juste" à produire un grand film - un tout autre défi à relever.
En rachetant à George Lucas cet univers qu'il a créé, le géant Disney n'est pas immédiatement parvenu à lever le doute sur la possibilité d'un renouveau narratif et formel. De très nombreuses caricatures l'ont prouvé: Mickey et Stars Wars, ce n'est pas forcément compatible pour tout le monde. Le long-métrage attendu l'année prochaine devra donc marquer les esprits et apporter une légitimité anticipée à ceux qui le suivront, en 2017 et 2019. Je dois admettre que j'envie parfois les spectateurs qui ont vu le tout premier opus au cinéma, dès 1977. Moi, c'était vers 1994 ou 1995, sur une vieille VHS - ce qui m'a permis tout de même d'éviter les retouches numériques apportées ensuite. J'aimerais qu'il soit possible de recommencer, sans subir l'influence des campagnes marketing XXL qui accompagnent les blockbusters actuels. C'est ça aussi, mon rêve de cinéma: voir un jour une oeuvre amenée à marquer plusieurs générations. C'est pour moi l'essence même du septième art que de nous accompagner... jusqu'aux étoiles.
J'ai tout au plus attendu cette date symbolique pour en redire quelques mots. Pourquoi diable le 18 décembre ? Tout simplement parce que, dans un an jour pour jour, le septième volet est annoncé sur nos écrans français - pour ce qui serait une sortie simultanée France/USA. Le titre: Stars Wars épisode VII - Le réveil de la Force. Après un accueil un peu froid, j'ai l'impression désormais que le film suscite davantage d'attente que d'inquiétude. Mêmes les sceptiques semblent accorder à J.J. Abrams le bénéfice du doute: qu'il ait réalisé quelques épisodes de Star Trek ne paraît même plus devoir faire obstacle à sa crédibilité. Il faut dire que les fans de toujours s'enthousiasment déjà du casting et du (grand ?) retour programmé des héros originels. Avec Carrie Fisher, Mark Hamill et Harrison Ford de retour pour reprendre leurs rôles respectifs de la princesse Leia, Luke Skywalker et Han Solo, la production a rassuré les puristes. Reste "juste" à produire un grand film - un tout autre défi à relever.
En rachetant à George Lucas cet univers qu'il a créé, le géant Disney n'est pas immédiatement parvenu à lever le doute sur la possibilité d'un renouveau narratif et formel. De très nombreuses caricatures l'ont prouvé: Mickey et Stars Wars, ce n'est pas forcément compatible pour tout le monde. Le long-métrage attendu l'année prochaine devra donc marquer les esprits et apporter une légitimité anticipée à ceux qui le suivront, en 2017 et 2019. Je dois admettre que j'envie parfois les spectateurs qui ont vu le tout premier opus au cinéma, dès 1977. Moi, c'était vers 1994 ou 1995, sur une vieille VHS - ce qui m'a permis tout de même d'éviter les retouches numériques apportées ensuite. J'aimerais qu'il soit possible de recommencer, sans subir l'influence des campagnes marketing XXL qui accompagnent les blockbusters actuels. C'est ça aussi, mon rêve de cinéma: voir un jour une oeuvre amenée à marquer plusieurs générations. C'est pour moi l'essence même du septième art que de nous accompagner... jusqu'aux étoiles.
Hé oui, c'est pile poil dans un an que l'on pourra enfin se faire une idée de ce 7ème opus :)
RépondreSupprimerTout comme toi, je trouve que le "vrai cinéma" c'est celui qui fait traverser les films sur plusieurs générations
Je me suis rendu compte après coup que j'avais déjà évoqué le sujet le 18 décembre... l'année dernière. Ce qui prouve au moins, si besoin est, que j'attends le film avec une relative impatience.
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