dimanche 27 juillet 2025

Bisounours

Et si on s'essayait à la douceur, en ce dernier dimanche de juillet ? Après le diptyque Audiard vendredi, je me suis (re)dit que beaucoup des films que je voyais évoquaient la violence ou même la mort. Souvent, ils sont directement associés aux armes à feu et au crime. Parce qu'ils reflètent nos sociétés brutales ? Très certainement, oui...

Je suppose que, comme moi, beaucoup d'entre vous ont entendu dire que nous ne vivons pas "dans le monde des Bisounours". C'est vrai. Mais combien ont une idée précise de ce que racontait ce dessin animé télévisé des années 1980 ? Je l'admets: ce n'est pas mon cas. Ce qui ne m'empêche pas de penser parfois à l'impact des images agressives, omniprésentes sur nos écrans (cinéma, télé, ordi, etc...). Sans paranoïa, mais en essayant de rester lucide sur les conséquences possibles. Demain, promis: j'ai une proposition non-violente à faire. D'autres suivront, bien sûr, car le septième art le permet largement. Le tout, c'est évidemment de ne pas l'oublier... et aussi d'en profiter !

2 commentaires:

  1. J'aime la douceur mais pour moi ces couleurs guimauve sont aussi agressives ou plutôt écœurantes.
    L'éloge de la douceur au cinéma ? Dernièrement, La trilogie d'Oslo (Amour).

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    1. Je crois que je ne vais vraiment pas avoir le temps pour la trilogie norvégienne.
      En revanche, d'accord avec toi pour dire que trop de guimauve peut être écoeurant.

      Le juste milieu : la comédie romantique hollywoodienne (ou anglaise) classique ?

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