Je vous l'accorde: le diptyque que j'ai choisi de façonner aujourd'hui est tout à fait discutable. Que voulez-vous ? J'avais la flemme d'écrire deux chroniques séparées et j'ai donc choisi un angle de vue: le fait que les personnages principaux ne sont pas exactement à leur place dans le lieu où on les découvre. À vrai dire, c'est plutôt anecdotique...
Les choses simples
Film français d'Éric Besnard (2023)
Une pub - pour le jambon Herta - conseillait de ne pas passer à côté. Le film, lui, nous suggère que c'est dans la plus grande simplicité qu'on vit le mieux. C'est le choix qu'a fait Pierre (Grégory Gadebois) après la mort accidentelle de son frère. Lui qui était un scientifique renommé a tout quitté pour aider sa jolie belle-soeur (Marie Gillain) et sa nièce à remonter la pente. C'est ce que découvre un chef d'entreprise obsédé par la performance, Vincent (Lambert Wilson). Les deux hommes pourront-ils se comprendre ? Ou se rapprocher ? C'est un peu le problème de ce genre de films: un scénario cousu de fil blanc nous déroule une gentille petite histoire, sans surprise aucune. Les acteurs ne déméritent pas, mais leur talent est sous-exploité. Une déception, donc, malgré les très beaux paysages de la Maurienne.
→ Et ailleurs ?
Zut ! Je n'ai pas trouvé un(e) camarade de blog pour ajouter un lien...
Film français d'Éric Besnard (2023)
Une pub - pour le jambon Herta - conseillait de ne pas passer à côté. Le film, lui, nous suggère que c'est dans la plus grande simplicité qu'on vit le mieux. C'est le choix qu'a fait Pierre (Grégory Gadebois) après la mort accidentelle de son frère. Lui qui était un scientifique renommé a tout quitté pour aider sa jolie belle-soeur (Marie Gillain) et sa nièce à remonter la pente. C'est ce que découvre un chef d'entreprise obsédé par la performance, Vincent (Lambert Wilson). Les deux hommes pourront-ils se comprendre ? Ou se rapprocher ? C'est un peu le problème de ce genre de films: un scénario cousu de fil blanc nous déroule une gentille petite histoire, sans surprise aucune. Les acteurs ne déméritent pas, mais leur talent est sous-exploité. Une déception, donc, malgré les très beaux paysages de la Maurienne.
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Film français d'Agnès Jaoui (2008)
À la veille d'une élection importante pour elle, une femme politique accepte de recevoir des journalistes dans la maison de son enfance. Comme de bien entendu, tout cela va gentiment partir en vrille ! D'après ce que j'ai lu, Agnès Jaoui (et son comparse Jean-Pierre Bacri) avaient depuis longtemps l'envie de tourner avec Jamel Debbouze. Improbable à l'époque, leur collaboration ne fait pas d'étincelles ici. J'ai des difficultés à exprimer ce que je reproche au film, au juste. Peut-être un manque de profondeur ou un rythme trop peu soutenu. J'espérais une comédie corrosive: ce n'est qu'une production ordinaire autour de la question de l'engagement - et ce à des niveaux multiples. C'est encore la déception qui domine: il y avait, je crois, le casting pour mieux faire. Et surtout après avoir retenu un titre de Brassens...
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Ah ! Les blogs sont au rendez-vous: Dasola, Laurent, Benjamin et Lui.
MAJ du mercredi 10 (11h26): un autre avis est publié chez Pascale.
J'ai vu les 2.
RépondreSupprimerLe 1er ne vaut que pour le casting. Tu as raison c'est une pub pour un pique nique idéal.
Du second je garde un souvenir mitigé mais je m'étais montrée très indulgente car à l'époque j'aimais encore Agnès Jaoui que je trouve aujourd'hui irregardable, inécoutable, insupportable.
http://www.surlarouteducinema.com/archive/2008/09/23/parlez-moi-de-la-pluie-d-agnes-jaoui.html
Une escapade en montagne avec Marie Gillain, je crois que je ne dirais pas non !
SupprimerPour ce qui est d'Agnès, je préfère "Le goût des autres". Merci pour ton lien, que j'ai ajouté.