lundi 29 avril 2024

Le garçon et le monde

Le garçon, c'est moi ! Et le monde ? Celui que j'arpente en tous sens grâce au cinéma. Rappel: depuis le début de cette année 2024 marquée par les Jeux olympiques, trois pays - la Mongolie, le Yémen et Chypre - ont rejoint les 77 déjà représentés sur ce bon vieux blog. Par franchise, je dois dire que c'est un chiffre dont je suis assez fier !

Si mes souvenirs scolaires sont bons, transformer le globe terrestre en planisphère conduit inévitablement à en déformer les continents. Même bienveillante, la vision que nous avons de notre chère planète est donc nécessairement faussée - et ce d'autant plus que l'Europe reste souvent placée au centre de tout. L'un des mérites du cinéma serait dès lors de nous permettre d'apprécier la réalité "autrement". C'est vrai: ce que je fais mine de vous révéler ici n'a rien d'un scoop. Je dirais juste que certaines évidences... méritent d'être soulignées !

---------
Dès lors, voici d'autres chiffres...

À ce stade (non-olympique) de l'année, j'ai parlé des quarante films que j'ai déjà découverts lors du premier trimestre. Onze d'entre eux produits en France et sept aux États-Unis. La routine, somme toute...

Mais j'en ai également recensé...
-> quatre britanniques, trois italiens et trois japonais,
-> deux allemands, deux belges (l'un wallon, l'autre flamand),
-> deux chinois et un canadien (du Québec et donc francophone),
-> un chypriote, un hongrois, un mongol, un yéménite,
-> ... et un brésilien, juste avant cette chronique statistique !

Vous êtes encore là ? C'est très bien...
J'en profite pour vous préciser (ou redire) que Le garçon et le monde est également le titre d'un film d'animation, venu lui aussi du Brésil. Une petite perle que je vous invite à découvrir. Si ce n'est déjà fait...

4 commentaires:

  1. J'ai vu un film israélien aujourd'hui et je l'ai trouvé extraordinaire.
    J'aurais dû dès le début classer les films que je vois par nationalité. Mais après 18 ans, la tache serait trop ardue.
    J'en suis à 80 moi...

    Puis je oser un, les JO je m'en ballec.

    RépondreSupprimer
  2. Ton film israélien, je vais essayer de trouver le temps de le voir. Pas gagné...

    J'aime classer les films par nationalité, mais je ne retiens pas toujours la bonne: celle des producteurs.

    RépondreSupprimer
  3. Je choisirais aussi la nationalité du réalisateur... Quand je vois production franco portugaise autrichienne mongole (je dis n'importe quoi pour l'exemple) et que le film se passe à Oulan Bator et que la réalisatrice est mongole, pour moi le film est mongol.

    RépondreSupprimer
  4. Il le serait pour moi aussi.

    Mais, dans ton exemple, j'essayerai de ne pas oublier qu'il a reçu le soutien de producteurs européens... un soutien sans doute crucial pour sa diffusion en Europe.

    RépondreSupprimer