Il est plus que probable que je vous en reparle, mais j'ai très envie d'écrire déjà un mot ou deux sur l'événement cinéma du jour: la sortie de Killers of the flower moon, le nouveau film de Martin Scorsese. Oui, mon intention est toujours de voir l'ensemble des longs-métrages du maître. Ici, vous pourriez en retrouver treize de déjà chroniqués...
J'ai dû faire sans The Irishman (2019), celui qui était donc le dernier jusqu'à aujourd'hui, et n'en ai lu que des critiques assez mitigées. Souvenez-vous: en France, il n'avait été distribué que sur Netflix. Maintenant, vu que Marty nous redonne rendez-vous dans les salles obscures avec Robert de Niro et Leonardo DiCaprio, je lui pardonne d'avoir commis ce "petit écart" sur la fameuse plateforme numérique. De toute façon, il faut bien vivre avec son temps, à ce qu'il paraît. Cela affirmé, je vous précise que le film à l'affiche de ce mercredi rend compte d'une série de meurtres survenue dans une communauté indienne de l'Oklahoma, lors des années 20 et 30, si j'ai bien compris. Désolé, mais je n'ai guère plus d'infos sur ce nouvel opus scorsesien. D'une durée de trois heures bien tassées, j'espère qu'il me surprendra autrement que par ce format XXL... et pour tout dire, je le sens bien. Il a reçu une standing ovation de neuf minutes à Cannes cette année !
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Vous avez un peu de temps devant vous ?
Je vous rappelle qu'au petit jeu des intégrales, j'ai aussi dans l'idée d'enrichir mes collections Spielberg, Eastwood et Coen (notamment). Tout est résumé dans cette vieille chronique, publiée en plein Covid. J'ai depuis découvert l'un des tous premiers Scorsese: Bertha Boxcar.
J'ai dû faire sans The Irishman (2019), celui qui était donc le dernier jusqu'à aujourd'hui, et n'en ai lu que des critiques assez mitigées. Souvenez-vous: en France, il n'avait été distribué que sur Netflix. Maintenant, vu que Marty nous redonne rendez-vous dans les salles obscures avec Robert de Niro et Leonardo DiCaprio, je lui pardonne d'avoir commis ce "petit écart" sur la fameuse plateforme numérique. De toute façon, il faut bien vivre avec son temps, à ce qu'il paraît. Cela affirmé, je vous précise que le film à l'affiche de ce mercredi rend compte d'une série de meurtres survenue dans une communauté indienne de l'Oklahoma, lors des années 20 et 30, si j'ai bien compris. Désolé, mais je n'ai guère plus d'infos sur ce nouvel opus scorsesien. D'une durée de trois heures bien tassées, j'espère qu'il me surprendra autrement que par ce format XXL... et pour tout dire, je le sens bien. Il a reçu une standing ovation de neuf minutes à Cannes cette année !
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Vous avez un peu de temps devant vous ?
Je vous rappelle qu'au petit jeu des intégrales, j'ai aussi dans l'idée d'enrichir mes collections Spielberg, Eastwood et Coen (notamment). Tout est résumé dans cette vieille chronique, publiée en plein Covid. J'ai depuis découvert l'un des tous premiers Scorsese: Bertha Boxcar.
Comme toi j'enrage de ne pas avoir vu The irishman et je HAIS Netflix même si je comprends que tout le monde n'a pas les moyens de s'offrir le cinéma. Que les films sortent en salle ET sur Netflix me conviendrait.
RépondreSupprimerPour les Killers, je pense qu'il s'agit aussi d'une partie du génocide des indiens. Les Osage ont eu la bonne fortune d'avoir du pétrole sur leurs terres, se sont enrichis ce qui n'a pas plu aux américains importés qui leur ont fait "payer".
Les rois du monde continuent de donner des leçons de comment il faut faire à travers le monde sans se retourner sur les horreurs qu'ils ont commises.
Leo et Bob... j'ai très hâte, mais pas avant samedi pour trouver les 3 h 26 nécessaires, qui ne me font absolument pas peur. J'aime les grandes fresques et j'aime Leo, Marty et Bob.
Point par point :
RépondreSupprimer- sur Netflix, nous sommes d'accord, mais la chronologie des médias française est une chose compliquée, qui nous prive aussi de certains bons films au cinéma par son intransigeance. Il me semble par exemple que Disney avait proposé une distribution en salles pour certains de ses films et que le gouvernement avait refusé que ce soit avant de longs mois. Bon... je ne maîtrise pas tellement le sujet et vais donc me taire avant de dire des bêtises.
- sur les Osage, on en reparlera lorsque nous aurons vu le film, mais c'est sans doute un peu ça, oui.
- et sur le film donc, j'ai hâte moi aussi, et partage ton opinion sur la durée, le côté fresque et le trio LMB !
KOTFM, grand film.
RépondreSupprimerJ'en ai profité pour me repasser "the Irishman" (histoire d'amortir mon abonnement à N), et je n'ai pas boudé mon plaisir. En relisant ma chronique, je me suis d'ailleurs trouvé un peu sévère. Ceci dit, ce n'est pas du niveau de "Killers..."
N'ayant pas Netflix, je n'ai pas vu "The Irishman", mais le dernier opus scorsesien a franchement tendance à me pousser vers d'autres opus antérieurs du grand Martin...
RépondreSupprimerEst-ce que j'en reparlerai bientôt ici ? Peut-être. Mais je commencerai avec "Killers of the flower moon" début novembre.