C'est reparti pour un tour ! Avant de véritablement reprendre le fil régulier de mes chroniques, je voulais vous souhaiter à toutes et tous une très belle année 2015, au cinéma et dans votre vie quotidienne. Nous pleurerons peut-être d'émotion devant un film, mais je formule le voeu que ce millésime soit rieur, festif et plein de belles choses. Puisse le septième art favoriser le bonheur, consolidé... ou retrouvé !
Je reviens vite: après encore une grosse semaine offline, j'évoquerai ici même les derniers films que j'ai vus en 2014. Il sera temps ensuite de dresser un petit bilan de ce millésime écoulé, qui m'a permis d'atteindre un encore plus haut sommet en matière de découvertes cinématographiques. J'ai également déjà retenu quelques titres susceptibles d'amorcer ma saison 2015, sur petits et grands écrans. J'imagine que vous aurez compris que je n'ai pas choisi par hasard d'illustrer mon propos avec un trio de Minions - voilà un succès international auquel ont contribué quelques Français, mais oui ! Reste que, si je ne compte évidemment pas écarter l'animation, j'attends avant tout de cette nouvelle année qu'elle soit aussi riche et variée que la précédente, voire plus encore. Qu'elle brille de sa di-ver-si-té !
En regardant en arrière avant d'aller de l'avant, je me suis intéressé au passé lointain: je me suis demandé ce qu'était le cinéma en 1915. J'ai alors appris que Charles Chaplin, qui venait à peine de donner vie au personnage de Charlot, était déjà, à 25 ans, l'un des grands noms de son temps. Ses premiers courts-métrages tournés pour la Keystone eurent même un succès qui encouragea les salles françaises à rouvrir progressivement. Parmi d'autres films, avant tout des productions étrangères ou des reprises, ils prirent une partie de la place laissée vacante par les artistes nationaux mobilisés par la guerre. Le cinéma était si jeune, à cette époque, vingt ans après que les frères Lumière en ont déposé le brevet. Un siècle est passé, sans qu'il s'interrompe. Mon espoir, ce sera bien sûr qu'il nous accompagne encore longtemps.
Je reviens vite: après encore une grosse semaine offline, j'évoquerai ici même les derniers films que j'ai vus en 2014. Il sera temps ensuite de dresser un petit bilan de ce millésime écoulé, qui m'a permis d'atteindre un encore plus haut sommet en matière de découvertes cinématographiques. J'ai également déjà retenu quelques titres susceptibles d'amorcer ma saison 2015, sur petits et grands écrans. J'imagine que vous aurez compris que je n'ai pas choisi par hasard d'illustrer mon propos avec un trio de Minions - voilà un succès international auquel ont contribué quelques Français, mais oui ! Reste que, si je ne compte évidemment pas écarter l'animation, j'attends avant tout de cette nouvelle année qu'elle soit aussi riche et variée que la précédente, voire plus encore. Qu'elle brille de sa di-ver-si-té !
En regardant en arrière avant d'aller de l'avant, je me suis intéressé au passé lointain: je me suis demandé ce qu'était le cinéma en 1915. J'ai alors appris que Charles Chaplin, qui venait à peine de donner vie au personnage de Charlot, était déjà, à 25 ans, l'un des grands noms de son temps. Ses premiers courts-métrages tournés pour la Keystone eurent même un succès qui encouragea les salles françaises à rouvrir progressivement. Parmi d'autres films, avant tout des productions étrangères ou des reprises, ils prirent une partie de la place laissée vacante par les artistes nationaux mobilisés par la guerre. Le cinéma était si jeune, à cette époque, vingt ans après que les frères Lumière en ont déposé le brevet. Un siècle est passé, sans qu'il s'interrompe. Mon espoir, ce sera bien sûr qu'il nous accompagne encore longtemps.
ça ne nous rajeunit pas tout ça !
RépondreSupprimerJolie photo de Charles Chaplin jeune.
RépondreSupprimerTous mes meilleurs vœux à toi également Martin, une année 2015 riche en découvertes en tous genres et en billets colorés de nos impressions et émotions diverses :-)
@Princécranoir:
RépondreSupprimerCertes non ! Le "jeunot", à l'époque, c'était l'un de mes deux grands-pères. Je me demande s'il appréciait Chaplin. Mais à vrai dire, en 1915, il avait certainement d'autres préoccupations...
@Sentinelle:
RépondreSupprimerC'est très joliment dit et je t'en remercie. Je te souhaite une très belle année également. Pour ce qui est de mes premières "vraies" chroniques de 2015, elles arrivent donc dans une huitaine de jours.
Meilleur voeux à toi aussi Martin :)
RépondreSupprimerMerci, 2flics. Et à bientôt pour d'autres lectures cinéphiles !
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