Si mon compte est bon, l'Italie est le 4ème pays de cinéma le plus cité sur les Bobines - bien que le total de longs-métrages découverts reste encore faiblard, comparé à l'importance du septième art transalpin dans le paysage européen. Un mot aujourd'hui sur Le pigeon, qui sera du même coup mon premier Mario Monicelli. Je connaissais seulement quelques-uns des acteurs de cette comédie: Vittorio Gassman, Marcello Mastroianni et Claudia Cardinale. J'ai pu faire connaissance avec Toto, l'un des acteurs les plus célèbres d'Italie. Entre autres...
L'histoire se passe à Rome. Cosimo, un brigand, est surpris la main dans le sac par la police, alors qu'il essaye de voler une voiture. Solidaires, ses amis cherchent quelqu'un qui, moyennant finances, accepterait de se dénoncer pour lui permettre d'échapper à la prison. Finalement, Cosimo est incarcéré, mais Pepe, le complice, l'est aussi. Un nouveau coup se prépare derrière les barreaux: il s'agira ensuite de braquer une agence du Mont de Piété. Le pigeon ménage judicieusement quelques retournements de situation inattendus. Drôle à sa façon, le scénario nous fait découvrir l'Italie populaire d'après-guerre. Pas franchement doués, les voleurs apparaissent comme une joyeuse bande de pieds nickelés. Je ne peux promettre que ça vous plaira autant qu'au public de la toute fin des années 50...
Le long-métrage n'en est pas moins bien placé dans la mémoire cinéphile italienne. Il a connu deux remakes: le premier date de 1984 et est l'oeuvre du Français Louis Malle, avec une troupe d'acteurs anglosaxons, Donald Sutherland et Sean Penn en tête. Le pigeon inspira également deux suites, dès 1959 et en 1985. Je crois cependant que je vais me contenter du film originel, qui m'a paru quelque peu suranné, je dois bien le reconnaître. Il me faut vous dire aussi que je manque de repères dans cette filmographie italienne ancienne. Je n'ai rien vu de mauvais: j'imagine donc que les esthètes apprécieront le spectacle à sa juste valeur. Je ne renoncerai pas aujourd'hui à l'idée de mieux connaître le cinéma italien, non. N'hésitez donc pas à me faire part de vos classiques incontournables !
Le pigeon
Film italien de Mario Monicelli (1958)
J'ai aussi entendu parler de ce réalisateur pour l'un de ses films suivants, Larmes de joie (1960), qu'il me faudrait encore découvrir. Évidemment, à ce stade, j'ai du mal à vous offrir une comparaison valable avec d'autres titres du répertoire italien. Il vous est possible d'aller piocher au hasard dans mon index "Cinéma du monde". Dernièrement, je m'étais plutôt amusé avec L'argent de la vieille...
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Il y a toujours des cinéphiles plus férus que moi...
Le film est notamment présenté chez mes amis de "L'oeil sur l'écran".
L'histoire se passe à Rome. Cosimo, un brigand, est surpris la main dans le sac par la police, alors qu'il essaye de voler une voiture. Solidaires, ses amis cherchent quelqu'un qui, moyennant finances, accepterait de se dénoncer pour lui permettre d'échapper à la prison. Finalement, Cosimo est incarcéré, mais Pepe, le complice, l'est aussi. Un nouveau coup se prépare derrière les barreaux: il s'agira ensuite de braquer une agence du Mont de Piété. Le pigeon ménage judicieusement quelques retournements de situation inattendus. Drôle à sa façon, le scénario nous fait découvrir l'Italie populaire d'après-guerre. Pas franchement doués, les voleurs apparaissent comme une joyeuse bande de pieds nickelés. Je ne peux promettre que ça vous plaira autant qu'au public de la toute fin des années 50...
Le long-métrage n'en est pas moins bien placé dans la mémoire cinéphile italienne. Il a connu deux remakes: le premier date de 1984 et est l'oeuvre du Français Louis Malle, avec une troupe d'acteurs anglosaxons, Donald Sutherland et Sean Penn en tête. Le pigeon inspira également deux suites, dès 1959 et en 1985. Je crois cependant que je vais me contenter du film originel, qui m'a paru quelque peu suranné, je dois bien le reconnaître. Il me faut vous dire aussi que je manque de repères dans cette filmographie italienne ancienne. Je n'ai rien vu de mauvais: j'imagine donc que les esthètes apprécieront le spectacle à sa juste valeur. Je ne renoncerai pas aujourd'hui à l'idée de mieux connaître le cinéma italien, non. N'hésitez donc pas à me faire part de vos classiques incontournables !
Le pigeon
Film italien de Mario Monicelli (1958)
J'ai aussi entendu parler de ce réalisateur pour l'un de ses films suivants, Larmes de joie (1960), qu'il me faudrait encore découvrir. Évidemment, à ce stade, j'ai du mal à vous offrir une comparaison valable avec d'autres titres du répertoire italien. Il vous est possible d'aller piocher au hasard dans mon index "Cinéma du monde". Dernièrement, je m'étais plutôt amusé avec L'argent de la vieille...
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Il y a toujours des cinéphiles plus férus que moi...
Le film est notamment présenté chez mes amis de "L'oeil sur l'écran".
Brutti, sporchi e cattivi / E. Scola
RépondreSupprimerlo scopone scientifico / L. Comencini
Novecento / B. Bertolucci
Profumo di donna / D. Risi
Il Gattopardo / L. Visconti
Me restent en mémoire & par ordre de préférence. Un gros coup de coeur pour les 2 premiers.
Amarcord ....comme dirait Frederico
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