Soyez prévenus: après ce message, Mille et une bobines fait relâche. Un break d'une semaine au moins, probablement de deux. Mon année 7ème art ayant commencé avec la découverte d'un Clint Eastwood (L'échange) au cinéma, et comme l'acteur américain reste LA star que je juge incontournable, je souhaite vous rappeler que l'année prochaine verra très vite débarquer sa nouvelle réalisation: Invictus, en salles dès le 13 janvier. J'en ai déjà touché un mot il y a un mois et demi, mais je confirme que c'est l'une de mes grosses attentes pour début 2010. Les infos commencent à circuler et on annonce ici et là une nouvelle grande oeuvre eastwoodienne. De quoi patienter jusqu'à la suivante, Hereafter, dont on ne sait encore qu'assez peu de choses si ce n'est qu'il s'agira d'un film fantastique où jouera notamment Cécile de France. Bien sûr, je vais surveiller ça aussi...
L'année prochaine, si tout va bien pour lui, Clint Eastwood fêtera également ses 80 ans. Comptez sur moi: j'ai déjà quelques idées pour marquer l'événement à sa juste valeur. Avant d'être un peu plus explicite là-dessus, j'avais envie de vous dire que j'ai pris beaucoup de plaisir à vous parler de cinéma au cours de cette année et au fil de ces 132 (!) chroniques estampillées 2009. Quelques commentaires supplémentaires seront toujours les bienvenus, mais pas de raison que cela cesse pour ma part ! Je précise d'ailleurs que le millésime n'est pas tout à fait fini pour moi, car j'ai en stock quelques films vus et non encore chroniqués, et que j'en verrai assurément d'autres avant mon retour en ligne. Et c'est en fait compter sans Avatar, Invictus (donc), Gainsbourg - Vie héroïque et Océans, au nombre des premières oeuvres que j'ai dès à présent mises à mon agenda cinématographique prochain. Promis: je vous en reparle très vite !
lundi 21 décembre 2009
samedi 19 décembre 2009
Un vrai sale gosse


mercredi 16 décembre 2009
Le film de l'année ?
Je ne ferai pas d'exception pour Avatar. En bien ou en mal, je n'ai pas envie de critiquer un film avant de l'avoir vu. Toute la question est là: sachant qu'elle est sortie en salles aujourd'hui, irai-je voir cette oeuvre que d'aucuns vendent déjà comme l'événement cinématographique de l'année 2009 et une probable révolution durable pour le septième art ? Possible. Il est encore très prématuré d'y renoncer, d'autant que j'ai idée que, tant qu'à faire, il vaudra mieux la voir sur un écran géant. Simplement, je n'en fais pas franchement une priorité: j'ai prévu d'aller au cinéma ce week-end, mais pour voir autre chose. J'imagine que j'ai quelques semaines devant moi avant que le nouveau James Cameron quitte l'affiche.
lundi 14 décembre 2009
Morts noires



dimanche 13 décembre 2009
Huit ans après...

vendredi 11 décembre 2009
Poupoupidou !



mardi 8 décembre 2009
Toudoum, toudoum...
Retour aux sources. Petit, j'étais plutôt amateur du dessin animé, avec une nostalgie particulière pour deux épisodes que mon père projetait régulièrement au format Super 8. Grand, j'ai voulu découvrir le premier des films de la série La panthère rose, porteur du même nom. C'est chose faite depuis une grosse semaine. Vais-je enchaîner avec les autres longs métrages ? Peut-être, mais pas tout de suite. Dissipons d'emblée un possible malentendu: même s'il est clair que la maladresse légendaire de l'inspecteur Jacques Clouseau donne à l'oeuvre de Blake Edwards un ton loufoque, on ne peut pas dire qu'il y ait de quoi parler de comédie. Disons donc que nous avons là un film de genre, d'un goût que je dirais gentiment suranné.


dimanche 6 décembre 2009
C'était pour rire ?
Initialement, je ne sais plus vraiment ce qui m'a donné envie de voir Man on the moon. Peu importe. Ce que je peux dire, maintenant que c'est fait, c'est que je ne le regrette pas. Jim Carrey a fait d'autres films beaucoup plus connus, mais si vous souhaitez passer un bon moment devant une belle prestation d'acteur, je peux facilement vous recommander celui-là. Il raconte l'histoire (vraie) d'un Américain: Andy Kaufman. Dans les années 70, l'intéressé est repéré dans un spectacle de café-théâtre, pour la manière habile dont il prend le public à contre-pied. Arrivé sur scène dans la peau d'un émigré lituanien, il en ressort après avoir livré une imitation parfaite... d'Elvis Presley ! Le début d'une longue et étrange carrière.