La Forêt d'émeraude. Un titre de film qui résonne depuis longtemps dans mes souvenirs cinématographiques. L'avais-je donc déjà vu ? M'en avait-on parlé ? Est-ce que j'ai raison de croire que je le confonds toujours avec A la poursuite du diamant vert ? Allez savoir ! La seule chose dont je suis sûr, c'est que c'est le tout dernier film que j'ai regardé sur ma platine DVD. Et que j'en suis ressorti content de l'avoir vu. Ou revu. Peu importe, en fait.
L'argument scénaristique tient en quelques lignes: un ingénieur européen est chargé de superviser les travaux d'un grand barrage au Brésil. Le chantier empiète largement sur la forêt amazonienne limitrophe. Il va sans dire que les industriels n'ont pas d'état d'âme et rasent les arbres "gênants" sans y réfléchir un seul instant. Mais voilà que les indigènes qui peuplent les lieux kidnappent le très jeune fils de notre brave ingénieur blanc. Avance rapide. Dix ans ont passé. Mort ou vivant, le gamin n'est toujours pas réapparu...
Le film évoque la rencontre de deux mondes: celui des populations primitives du Brésil et celui des colons européens défricheurs sans scrupule. Il y a évidemment un message derrière tout ça. Quelque chose qui ressemble à ce qu'on appellerait aujourd'hui une prise de conscience environnementale. Plus vieux de quelques années, La Forêt d'émeraude me fait un peu penser à Danse avec les loups. Bon, je préfère le film de Kevin Costner à celui de John Boorman, mais ce dernier se laisse tout de même regarder sans déplaisir. Objectivement un peu daté, il nous rappelle à l'ordre, en somme. Retombée dans l'oubli, la forêt amazonienne reste toujours menacée.
Le film évoque la rencontre de deux mondes: celui des populations primitives du Brésil et celui des colons européens défricheurs sans scrupule. Il y a évidemment un message derrière tout ça. Quelque chose qui ressemble à ce qu'on appellerait aujourd'hui une prise de conscience environnementale. Plus vieux de quelques années, La Forêt d'émeraude me fait un peu penser à Danse avec les loups. Bon, je préfère le film de Kevin Costner à celui de John Boorman, mais ce dernier se laisse tout de même regarder sans déplaisir. Objectivement un peu daté, il nous rappelle à l'ordre, en somme. Retombée dans l'oubli, la forêt amazonienne reste toujours menacée.
Très bon film que Steph m'a fait découvrir grâce à toi!!!
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